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Bonjour à toutes et à tous, ici Laurent Breillat pour Apprendre la Photo, et bienvenue dans cette nouvelle vidéo dans laquelle, à la demande générale, je vais vous montrer ce que j’ai emmené dans mon sac photo pour aller en Islande. Pour commencer, parlons déjà du sac, le Peak Design Everyday Backpack 20L, qui est donc hyper bien conçu, de manière générale. Vous avez une ouverture ici qui permet d’accéder au compartiment supérieur, dans lequel vous avez une petite poche, un peu secrète, dans laquelle vous pouvez mettre ce que vous voulez. Et ici, vous pouvez organiser ensuite avec des séparateurs – je vais vous montrer. Et puis vous avez une poche ici qui est conçue pour l’ordinateur portable. Vous pouvez mettre dedans un ordi. Et il y a aussi une petite poche qui est moins profonde et qui permet de mettre des choses très facilement accessibles, ce qui peut être utile. Mais le sac, surtout, il s’ouvre sur les côtés, si vous souhaitez mettre votre matériel photo dedans, eh bien, en général ça va se faire comme ça : vous allez ouvrir sur les côtés, et là vous allez pouvoir mettre des choses directement dedans, et vous allez pouvoir, évidemment, mettre des séparateurs au milieu si vous ne voulez pas que ça prenne toute la profondeur du sac. Donc ça s’ouvre sur les deux côtés, évidemment, et vous avez de chaque côté du sac des poches latérales, simplement tenues par un aimant, dans lesquelles vous pouvez mettre différentes choses – vos cartes mémoires, des batteries, des choses comme ça. Ici, une qui est fermée par un zip, pour un peu plus de protection. Et puis la même chose de l’autre côté (vous avez exactement la même chose ici). Comme vous pouvez le voir, ici j’ai séparé mes compartiments de manière un petit peu différente. Alors, le but n’est pas de vous faire une review complète du sac, mais j’aimerais quand même vous montrer un ou deux trucs. Déjà, vous avez ceci, en dessous, qui sont deux sangles (je ne vais pas vous sortir la deuxième) qui en gros permettent simplement de placer quelque chose ici, en plus du sac, et de venir s’accrocher là, sur le côté. Ça permet par exemple si vous avez une veste et que vous avez trop chaud, vous pouvez la mettre sur votre sac, même si vous n’avez pas la place à l’intérieur. C’est quand même assez pratique ; ça m’a servi une fois ou deux quand il faisait beaucoup plus chaud que prévu. Et ensuite il faut juste la replier et la remettre dans le petit compartiment, et vous l’oubliez complètement, jusqu’au jour où vous en avez de nouveau besoin. Évidemment, vous avez des poches sur les côtés qui sont relativement extensibles. Vous voyez qu’il y a une partie élastique ici qui peut vous servir, par exemple, à mettre un trépied ou une bouteille d’eau, si vous marchez avec le sac, ce qui peut toujours être utile. Donc, dans le dos, vous avez évidemment les bretelles du sac. Alors, là-dessus j’ai placé un petit clip de Peak Design qui permet de mettre l’appareil dessus quand vous vous baladez (je vous montrerai tout à l’heure), et un truc que je trouve très pratique, c’est qu’elles sont aimantées (vous avez un petit aimant ici) et donc elles viennent se coller un peu là-dessus. Pourquoi ça sert ? Eh bien, quand vous le mettez sur votre valise, par exemple, vous n’avez pas les bretelles qui se baladent, donc c’est plutôt cool, et pour le mettre sur la valise, c’est pas les bretelles qui le tiennent sur le manche de la valise – ce qui ne marche en général pas parce qu’elles ne sont pas assez tendues –, mais vous pouvez passer le manche de la valise ici dans ceci qui est prévu à cet effet, et c’est très pratique, ça permet de le garder très bien fixé dessus. Bon, assez parlé du sac, même si vous l’avez compris, je suis quand même assez fan Peak Design, et voyons ensemble ce que j’ai mis dedans. Alors, mon appareil principal pour le voyage, c’était le Panasonic GX8 avec un objectif 12-35 mm, mais je ne vais pas le mettre tout de suite dans le sac, parce que je vais d’abord placer l’objectif que j’ai pris avec, dont je vous ai parlé dans une précédente vidéo, c’est-à-dire le 100-400 mm, qui est un petit peu plus gros, quand même, même si ça reste très raisonnable pour un équivalent 800 mm, que j’ai pris principalement pour photographier les macareux, mais qui, comme je vous l’ai dit, m’a servi un peu pour le paysage. Oui oui, le paysage au 100-400. Et donc, je vais le placer d’abord, simplement parce qu’il prend, comme vous le voyez, à peu près toute la largeur du sac, donc il faut que je le place dans un compartiment à lui. Donc ce que j’ai fait, c’est que je l’ai placé en bas du sac, ici. Donc je vais placer cet objectif ici. Vous voyez, il reste un petit peu de place autour, donc, par exemple, je peux mettre cette protection pour la pluie Peak Design, là encore, que j’avais prise au cas où, parce que c’est un pays où il pleut pas mal et en plus il y a beaucoup de cascades. Ça m’a servi une ou deux fois pour éviter que l’appareil prenne trop la flotte. Alors, selon la tropicalisation de votre appareil, ce n’est pas forcément utile, mais moi, j’ai préféré la prendre. Et ensuite, j’ai pris le Panasonic 12-35 et le GX8, et je les ai mis ici. Vous voyez que j’ai séparé les deux compartiments ici en mettant une petite limite au milieu. Et donc, en gros, c’est tout pour ce côté du sac, ici on va mettre par-dessus, vous allez voir, donc je vais refermer et de l’autre côté, je vais placer mon drone – comme je vous l’ai dit, j’ai pris mon drone en Islande, parce que c’est quand même un pays plutôt cool pour ça. Et du coup, pour le drone, j’ai pu le mettre ici. Vous voyez qu’en général, mon matériel, je le mets souvent dans des petites pochettes en tissu, que je récupère dans différentes commandes que j’ai pu avoir, sinon vous pouvez en trouver assez facilement sur Amazon ou ailleurs. Là, j’ai mon drone dedans, et je le mets comme ça, car ça permet de protéger un peu sans forcément avoir les étuis qui sont parfois conçus pour, mais qui sont tout de suite un peu encombrants ; ils sont lourds… l’étui qui pèse 1/3 du poids du drone, je trouve ça un petit peu con quand on prend un drone qui est léger. Donc, là, c’est une simple pochette en tissu, ça suffit largement à le protéger. Et donc, là, je vais aller caser le drone ici. Vous voyez que, là, si je fais ça, ça ferme. Et voilà pour ce côté du sac – parce que là, le drone prend toute la place. Je peux fermer, et ce que je vais faire, c’est remplir le haut du sac, maintenant. En fait, dans le haut du sac, je peux placer pas mal de choses, il y a quand même de la place. Et donc, dedans je vais pouvoir mettre des choses comme, par exemple, la télécommande du drone – qui elle aussi a sa petite pochette –, éventuellement le chargeur et la batterie supplémentaire, que je prends pour prendre l’avion – évidemment, au quotidien, je ne le laisse pas dans le sac pour que ça m’encombre partout, par exemple si je ne prends pas le drone, ou si je sais que je ne vais avoir besoin que d’une batterie, etc. Et puis, également, je vous l’ai dit, j’ai pris mon argentique Plaubel Makina 670, qui est un moyen format 6×7, mais très compact, comme vous pouvez le voir, qui est très fin ; pourquoi ? Parce que l’objectif se déplie. Il suffit d’appuyer sur un bouton et l’objectif se déplie, ça permet d’avoir quelque chose de très compact et très léger, et de faire du moyen format 6×7 en voyage. Même si j’ai eu la mauvaise surprise d’avoir des fuites de lumière un peu partout ; mais ça c’est une autre histoire. Quoi qu’il en soit, l’appareil se place très facilement au-dessus, puisqu’il est vraiment très fin, et ensuite, eh bien, j’ai pu caser quelques pellicules également. Alors, mes pellicules en format 120, je les mets dans des boîtes comme ça, qui sont des boîtes Japan Camera Hunter. Vous pouvez mettre 5 pellicules dedans, c’est assez pratique. Et comme vous pouvez le voir, j’en ai deux de différentes couleurs, j’en ai même plus que ça, mais là j’en ai pris que deux. J’ai mis des lettres dessus et des numéros, ça me permet, si je mets des pellicules différentes, de savoir à peu près dans quelle boîte c’est, ça me permet de ne pas fouiller pendant très longtemps. Et ces boîtes, pour éviter que ça se balade partout, je les mets elles aussi dans leur petite pochette en tissu que je récupère de divers achats, mais si vous n’en avez pas, comme je l’ai déjà dit, vous pouvez en acheter très facilement sur Amazon ou ailleurs, c’est pas très compliqué de trouver des petites pochettes en coton. Et donc je mets ça là-dedans et puis, en gros, j’ai plus ou moins fini mon sac. Là, je peux fermer le sac ; vous voyez, il y a plusieurs crans si vous souhaitez le blinder un peu plus que prévu. Et puis, je suis prêt à partir avec mon sac en voyage en Islande. Voilà, j’espère que ça vous a plu, si oui mettez un pouce bleu et partagez la vidéo, sinon ne mettez pas de pouce vers le bas et dites-moi pourquoi en commentaire 😛 Si jamais vous découvrez la chaîne avec cette vidéo, abonnez-vous pour ne pas rater les prochaines, et pensez à télécharger votre guide gratuit “Faites-vous plaisir en photographiant” pour éviter les 5 erreurs des débutants. Je vous dis à plus dans la prochaine vidéo, et d’ici là à bientôt, et bonnes photos !
Laurent Breillat
J'ai créé Apprendre.Photo en 2010 pour aider les débutants en photo, en créant ce que je n'avais pas trouvé : des articles, vidéos et formations pédagogiques, qui se concentrent sur l'essentiel, battent en brêche les idées reçues, tout ça avec humour et personnalité. Depuis, j'ai formé plus de 14 000 photographes avec mes formations disponibles sur Formations.Photo, sorti deux livres aux éditions Eyrolles, et édité en français des masterclass avec les plus grands photographes du monde comme Steve McCurry.
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