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En photographie, on est souvent confronté à des lumières qui sont difficiles, ou en tout cas ne correspondent pas au résultat qu’on souhaiterait obtenir : temps trop nuageux ou au contraire gros soleil qui font des ombres trop dures ou marquées, énorme contre-jour… on aimerait parfois pouvoir changer ça d’un claquement de doigts. On ne peut pas changer la lumière, mais on peut changer ce qu’on en fait. Voyons comment, en passant tout simplement en noir et blanc ! 🙂
Avant de commencer, il faut bien réaliser qu’on ne photographie pas un sujet, mais la lumière qui se réfléchit dessus. Autrement dit, vous êtes encore plus dépendant de la qualité de la lumière (et de sa quantité), que du sujet lui-même. Je dis souvent « on ne peut pas photographier sans lumière, il n’y a pas de miracle », mais plus généralement, il faut aussi faire avec la lumière qu’on a.
Alors que faire quand on a une « mauvaise » lumière, qui ne correspond pas au résultat qu’on veut obtenir ? Il y a 2 attitudes possibles :
1) Ne pas prendre la photo, et accepter que les conditions ne sont tout simplement pas réunies pour faire ce qu’on veut. Ça m’est arrivé très récemment à Seattle : j’étais sur les hauteurs, à l’endroit DU point de vue célèbre duquel on peut admirer à la fois la Space Needle (le gratte-ciel en forme de soucoupe volante emblématique de la ville), et le Mont Rainier en arrière-plan. C’est une vue tout ce qu’il y a plus de classique, mais que voulez-vous, c’est magnifique au coucher du soleil et j’avais envie de le voir (et de le photographier) 😉
Problème : le premier soir, la lumière était franchement pourrie. Il y avait des nuages à l’ouest, et aucune jolie lumière sur le mont, comme ça arrive quand le temps est dégagé. Et bien je n’ai tout simplement pris aucune photo, et je suis revenu le lendemain (où j’ai eu plus de chance, je vous raconterai ça dans un prochain article 😉 ).
2) Adopter l’approche inverse : accepter la lumière telle qu’elle est, et essayer d’en faire quelque chose, en utilisant ses avantages. C’est se dire « il n’y a pas de mauvaise lumière, il n’y a que des photographes qui l’utilisent mal (ou pas du tout) ». Aujourd’hui je vais donc vous montrer qu’on peut mieux utiliser ces lumières difficiles simplement en passant en noir et blanc ! Faisons le point sur les différentes situations possibles.
1. Le ciel tout gris
Une des lumières qui posent le plus de souci aux photographes débutants, c’est celle des jours où le ciel est couvert. On est en vacances, le paysage est joli, mais la météo, sans être catastrophique, n’est pas au rendez-vous. On aimerait bien faire une photo avec un grand ciel bleu, mais ce n’est pas possible. Alors on essaye quand même, mais le résultat est franchement décevant : couleurs ternes et fades, ciel d’un gris clair uniforme et sans détails, bref, c’est loin du paysage rêvé !
Pas terrible hein ?
En passant en noir et blanc, on peut contourner pas mal de ces problèmes : les couleurs ternes ne sont évidemment pas un problème, et on peut profiter des nuages pour créer une ambiance différente. Plus dramatique, moins joyeuse peut-être, mais intéressante. En effet, parfois il ne sert à rien de se battre contre les conditions : s’il fait moche, vous n’allez pas faire une photo qui inspire le soleil, le printemps et les tongs. Autant jouer avec ce que vous avez (et que vous ne pouvez pas changer), plutôt que de se battre contre.
Dans ces conditions, l’exposition semi-automatique de l’appareil (dans les modes créatifs bien sûr) va parfois se tromper, et un peu surexposer le ciel : il sera tout blanc, laiteux, sans détails. Le décor, quant à lui, sera souvent trop sombre. Vous ne vous en rendez pas forcément compte car votre œil fait la gymnastique, mais c’est aussi une situation où la lumière est contrastée.
Pour avoir un bon rendu au final, il faut vous assurer d’une chose à la prise de vue : que votre histogramme soit « à droite », sans zones surexposées. Si vous n’avez pas compris un mot de cette phrase, pas de panique ! 😉 Lisez simplement mon article sur le sujet, j’explique tout en détail. Indice : l’outil le plus simple pour ça est la correction d’exposition. Perso, je l’utilise tout le temps ! 🙂
Ensuite, vous allez forcément devoir passer par la case post-traitement pour :
sous-exposer un peu le ciel, pour lui redonner un peu de détails, une teinte un peu moins laiteuse, et sans doute accentuer les nuages pour leur donner de la présence (vous pouvez faire ça simplement avec les filtres gradués) ;
remettre un peu de lumière dans les ombres, pour qu’on n’ait pas l’impression que votre paysage soit entièrement plongé dans l’ombre (un coup de curseur Ombres, et c’est réglé).
Voici quelques exemples des résultats qu’on peut obtenir par ce temps en noir et blanc 😉
Cannon Beach, Oregon, USA (Priorité ouverture : f/16, 1/125, ISO 160)
Côte de l’Oregon, USA (Priorité ouverture : f/8, 1/200, ISO 160)
Cannon Beach, Oregon, USA (Priorité ouverture : f/16, 1/125, ISO 160)
Patrick’s Point State Park, Oregon, USA (Priorité ouverture + correction d’exposition -2/3 : f/16, 1/160, ISO 160)
2. La lumière dure du milieu de journée
Le lendemain, vous avez de la chance, il fait super beau : grand soleil, et ciel bleu sans nuages. Youpi, vous allez pouvoir faire de jolies photos ! Sauf qu’en pratique, ce n’est pas forcément une lumière très facile non plus. Quand vous avez le soleil dans le dos, ça va, vous allez souvent parvenir à avoir de jolies couleurs, et un résultat « soleil / printemps / tongs ». Mais dès que le soleil est plus ou moins en face de vous (ou vaguement sur le côté), c’est plus compliqué d’obtenir un bon résultat. Sans compter les grosses ombres bien dures un peu partout, qui en y regardant de plus près, ne sont pas très esthétiques.
Pas si mal, mais pas génial non plus hein ?
C’est sans compter sur l’aide de notre copain le noir et blanc ! En effet, le noir et blanc fonctionne particulièrement bien sur des images qui présentent déjà de forts contrastes. Et bonne nouvelle, les ombres bien dures créent du contraste (par définition). C’est donc une situation où l’utilisation du noir et blanc peut donner un vrai plus à votre photo, et lui donner une signification supplémentaire ! Je sais, c’est contre-intuitif de passer en noir et blanc une photo avec un ciel tout bleu, mais essayez, vous pourriez être agréablement surpris 🙂
De suite, l’ambiance est différente ! (et oui, vous l’avez peut-être reconnue : c’est l’église utilisée dans Les Oiseaux d’Hitchcock, ce qui explique peut-être pourquoi le noir et blanc lui va si bien 😉 )
3. Le fort contre-jour (temps ensoleillé de fin de journée)
La dernière situation est à mon goût la moins difficile, et en tout cas la plus évidente. C’est le contre-jour. Typiquement, vous êtes en fin d’après-midi, surtout en hiver ou au début du printemps, et vous avez un grand ciel bleu. Le soleil est encore loin d’être couché, mais il est déjà bas dans le ciel, et projette des ombres très longues sur le sol. C’est une lumière qui a un fort potentiel (personnellement, c’est une de mes lumières préférées), mais qui n’est pas forcément toujours facile à gérer en situation. Et en couleur, le gros souci est que si vous incluez le ciel dans l’image, vous allez avoir une grosse partie toute blanche, et une partie vaguement bleue. C’est assez peu esthétique.
Dans le ciel, clairement, ce n’est pas joli…
Tandis qu’en désaturant, vous allez éliminer totalement ce problème de ciel pour commencer : de manière presque surprenante, le noir et blanc s’accommode très bien d’un ciel complètement blanc, sans que ce soit particulièrement choquant. D’ailleurs si vous regardez d’anciennes photos de grands maîtres en argentique (Cartier-Bresson et autres photographes humanistes par exemple), vous verrez parfois des ciels surexposés sans complexe, et qui rendent très bien.
En noir et blanc, plus de problème !
En plus de ça, comme je l’ai dit plus haut, le noir et blanc s’accommode très bien du contraste, et le contre-jour est LA lumière la plus contrastée que vous pourrez rencontrer. Vous aurez souvent des parties de l’image complètement surexposées (blanches) et d’autres complètement sous-exposées (noires). Et ce que je vous conseille ici, c’est de complètement l’assumer, voire de le rechercher ! Ça peut donner des effets très intéressants, et c’est une lumière qui vous permettra de mettre en valeur les textures, les reflets, les ombres, et que le noir et blanc sublimera en supprimant la couleur qui pourrait en détourner l’attention.
À la prise de vue, n’hésitez pas à « cramer » certaines zones. Ce n’est pas grave si le ciel est tout blanc. Exposez pour votre sujet (c’est-à-dire faites en sorte qu’il soit ni trop clair ni trop sombre), et laissez faire le reste. Quelques astuces :
Si vous avez le soleil en face, essayez de ne pas l’inclure directement dans votre image. Cachez-le derrière un mur, un bâtiment, un arbre, un passant, ou une tong (oups, mauvais paragraphe :P). Ça donne les avantages sans les inconvénients.
Au contraire, vous pouvez aussi carrément l’inclure et volontairement créer des flares, ces reflets dans l’objectif qu’on cherche souvent à éviter, mais qui peuvent renforcer cette impression de grand soleil. (Personnellement je n’aime pas trop l’effet, mais ça peut être sympa si c’est volontaire, recherché, et que ça a un sens.)
Pensez bien l’orientation de votre lumière. Elle est forte et prend une place importante dans votre image. Essayez des lumières latérales sur vos sujets, ça peut très bien fonctionner.
Regardez ce que font les ombres, et pensez à les inclure dans l’image, voire à les prendre comme sujet, plutôt que l’objet (ou la tong :P) qui les projette.
Soyez attentif aux reflets de la lumière sur les différentes textures : vieille peinture sur un mur, reflets sur les pavés, flaques d’eau de la dernière averse, etc. Elle peut vraiment la mettre en valeur !
Portland, Oregon : le contre-jour peut très bien fonctionner en street photo, notamment.
(Priorité ouverture : F/4, 1/250, ISO 160)
Portland, Oregon (Priorité ouverture : f/1.7, 1/2500, ISO 160)
Voilà, j’espère que la prochaine fois que la lumière ne vous plaira pas, vous ne râlerez pas en disant « rho la la, la lumière est pourrie aujourd’hui, on ne peut rien faire », mais plutôt que vous songerez à en profiter pour en faire autre chose, en noir et blanc ! 😉 Et vous, qu’est-ce que vous faites quand la lumière ne vous plaît pas ?
Laurent Breillat
J'ai créé Apprendre.Photo en 2010 pour aider les débutants en photo, en créant ce que je n'avais pas trouvé : des articles, vidéos et formations pédagogiques, qui se concentrent sur l'essentiel, battent en brêche les idées reçues, tout ça avec humour et personnalité.
Depuis, j'ai formé plus de 14 000 photographes avec mes formations disponibles sur Formations.Photo, sorti deux livres aux éditions Eyrolles, et édité en français des masterclass avec les plus grands photographes du monde comme Steve McCurry.
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Article vraiment très intéressant ^^
J’aime beaucoup la photo N&B, mais celle que je fais ont tendance à être fades (plutôt grisonnantes…)
La plupart de mes ami(e)s disent que mes photos sont “superbes”. Mais perso, je les trouve plus que passables…
Question de vie ou de mort, qui n’a rien à voir avec la photo.
La chanson qui passe à la fin de ta vidéo “Les 5 astuces pour l’effet “WAOUH!”” C’est quoi le titre?
J’ai une question! J’ai commencé la photo depuis très peu de temps et j’apprécie beaucoup le noir et blanc mais… vaut-il mieux prendre la photo directement en noir et blanc, quand c’est l’effet souhaité ou ajouter le N&B en post traitement?
Merci d’avance 🙂
Laurent j’ai toujours un soucis pour télécharger le logiciel RawTherapee pour mon PC afin que je puisse m’amuser pour les fichiers ras.
Bonne journée
Désiré
Merci pour ces infos! Si l’on utilise Lightroom ou d’autres logiciels un peu sophistiqués, on peut aussi jouer avec la luminosité de chaque couleur pour donner plus de contraste – par exemple rendre le bleu du ciel plus foncé pour avoir un meilleur contraste avec les nuages …
Bonjour,
justement, est-ce que prendre une photo en noir et blanc OU prendre une photo en couleur et ensuite la traiter en noir et blanc revient à la même chose ?
Lorsque tu règles ton APN sur le mode N/B, le capteur prend une photo couleur et la transforme en N/B dans l’appareil selon un ou des algorithmes calculés sur la base de millions de photos. Ta marge d’intervention est très faible et est programmée d’avance.
Si tu prends un Raw, toujours en couleur, et que tu le développes en N/B après-coup à l’aide d’un logiciel de retouche tu conserve toute ta liberté de manœuvre et tu peux interpréter ta photo comme tu le sens.
Simple exemple la fonction “tons foncés/tons clairs” va permettre de déboucher les ombres, respectivement dans les clairs d’aller retrouver des détails à priori grillés.
Permets-moi d’en douter un peu 😉
Une photo floue en couleur sera toujours floue en NB.
En revanche le rendu ne sera pas le même, et ceci peut influencer sur la perception de celui qui regarde la photo : là je te donne raison 😉
Merci de partager ton expérience et ton savoir-faire dans cet article instructif. Je convertis aussi en N&B lorsque je ne réussis pas à gérer correctement la balance des blancs sur une image prise en lumière artificielle comme cette scène qui étaient éclairée par des spots bleu et rouge. https://www.flickr.com/photos/chenucat/8864662245/in/photostream/
Ou encore lorsque le sujet ne se détache pas vraiment d’un fond dont la couleur n’est pas uniforme comme cette scène de plage : https://www.flickr.com/photos/chenucat/9601627862/in/set-72157627151408969
Merci Laurent, je tenais à témoigner toute ma reconnaissance pour ce blog qui m’a mis le ‘pied à l’étrier’. Jour après jour, je prends plaisir à shooter (pas encore en RAW, mais ça va venir). Pour faire une pirouette sur l’article précédent, je voulais témoigner d’une séance photo faite un jour à Londres où la lumière était particulièrement mauvaise (temps gris, où rien ne se distingue correctement). je suivais aussi les apprentissages de Anne Laure Jacquart (dont je ne saurais pas suffisament remercier par ailleurs, et dont je rappelle l’ouvrage que tu avais référencé sur ton blog, Composer, régler, déclencher…) où elle préconisait de savoir jouer sur les couleurs, donc pour cela il faut aiguiser son oeil et les voir. Alors, ce jour là à Londres, où je n’avais que 24h pour shooter, le matin, le midi et après les réunions le soir – et pas le choix sur la lumière, je suis passée en mode désaturation en focalisant sur le rouge (et ben oui!, je l’ai fait avant que tu ne publies ton article!), et j’ai réalisé de formidables photos qui ont bluffé mes collègues de bureau qui n’avait jamais regardé leur quartier sous cet angle: beaucoup de rouge à Londres, comment échapper à la fameuse cabine téléphonique! Sur une même vue, j’ai capté une cabine, un taxi londonien et un bus, tous rouges et cadrés sur une belle diagonale dans un environnement désaturé gris du plus belle effet. Quand je suis tombée à l’angle d’une rue sur une perspective de façade de bureau en contre-plongée, ruelle étroite et toute une façade avec de toutes petites fenêtres… rouges et 2 business men qui déambulaient dans cette ruelle en parlant au téléphone! et oui encore du rouge, de la perspective, une touche humaine et voilà j’ai fait une superbe photo de rue. J’ai été époustouflée quand 50m plus loin je suis tombée sur une rangée de velibs londoniens, tous flanqués d’une publicité bleu turquoise au nom d’une banque célèbre. en passant en désaturation bleue, j’ai saisi ‘au vol’ cet instant magique avec un cycliste aussi un peu plus loin dans le cadre en pull à manches… bleues. j’ai fait un montage avec picasa en combinant 5-6 vues du plus bel effet, façon carte postale! que j’ai partagé avec mes collègues de bureau pour leur apprendre à ouvrir les yeux en allant au bureau!
Tout cela pour dire, que si, on peut ‘intentionellement’ user de la désaturation, pour mettre en valeur son sujet, et aussi s’affranchir d’une mauvaise lumière :).
pour finir, j’ajoute que j’ai un petit compact SOny DSC-WX 300, que j’ai toujours sur moi, – un vrai petit bijou qui peut remettre en question beaucoup d’a priori sur les compacts. je recommande pour perfectionner sa capacité à composer/cadrer. un zoom X20 avec un autofocus qui tient la route même à grande focale. je suis passée au reflex ensuite, un autre style (ne tient pas dans la poche pour saisir la vie au quotidien).
Merci Laurent pour m’avoir contaminée par le virus de la photo… très facile avec ton blog
Comme quoi le plus important, en photo, c’est l’œil du photographe, pas le matériel. Par contre, un matériel sophistiqué permet d’aller plus loin ou de prendre des photos en conditions plus difficiles.
J’ai commencé avec des reflex, puis j’en ai eu assez de porter tout ce matériel lourd et encombrant et je suis passé à un compact de bonne qualité. Mais maintenant je suis revenu au Reflex numérique, en shootant en Raw. Et c’est définitif.
Pour ceux que cela pourrait intéresser, voici le lien de ma dernière présentation avec des photos de Birmanie (tout le contraire du N&B 🙂 ) :
Complètement EPOUSTOUFLANT. Ici nous avons Jean-Jacques Edler, mais sur Viméo JJ Meyer … Sans doute des noms d’artistes 😉
Un maître de l’image et du montage. Je trouve 85% des photos splendides, avec des compositions toujours au millimètres, et du côté post-traitement, tu es un champion, même si cela a du te prendre quelques heures. J’ai ouvert un compte VIMEO juste pour pouvoir te laisser un message.
En voyant la qualité de tes images, je me demandais quel genre d’équipement tu avais pris pour aller en Birmanie (reflex ou bridge) et si reflex, avec quel objectif …
Cela fait longtemps aussi que je me tatonne pour faire de petits montages photo en vidéo. Le tien est sublime, avec des musiques en crescendo, et des transitions dynamiques. Un grand bravo …
Bonjour Didier,
Et merci pour ton commentaire. Mon vrai nom c’est Jean-Jacques MEYER. 🙂
Chaque photo me prend environ de 10 minutes à 1/2 heure en post-traitement, sous Lightroom 5.4 et Photoshop CC. Je ne fais plus de HDR depuis ces versions et peu de Nik Software également.
Mon matériel, pour la Birmanie en novembre 2012 était un Canon EOS 7D, avec un objectif Tamron EF 24-70 2.8 Di VC USD et un Canon EF 70-200 2.8 L IS II USM.
Depuis je suis passé au Canon EOS 6D, avec en plus un Canon EF 24-70 2.8 L II USM, un Canon Fisheye EF 8-15 4.0 L USM et un Canon Macro EF 100 2.8 L IS USM (plus quelques autres objectifs).
Le post-traitement s’effectue en Raw 16 bits Prophoto (surtout sous Lightroom, Photoshop étant principalement utilisé pour redresser les monuments, les perspectives et effacer l’indésirable). Optionnellement également avec Kolor Autopano Pro 3.5.1 pour les panoramiques (et accessoirement Kolor Panotour Pro 2.0.1 pour les visites virtuelles 360°).
Puis je crée mes diaporamas mi photo/mi vidéo à l’aide de Photodex Proshow Producer 6. Avec des sorties en DVD, Blu-ray et MP4 (cette dernière servant à la visu sur PC, iPad et Viméo sur Internet, en HD 1080p.).
Je partage complètement l’avis de Didier. Ces photos de Birmanie sont magnifiques, elles donnent l’envie immédiate de visiter ce pays. Le post processing est très réussi, le rendu des couleurs et de la lumière est superbe.
Une intervention très intéressante et très enrichissante Magali. Merci.
Comme je visionne toutes mes photos dès que je les glisse sur mon dd, je commence par éliminer. Puis les passe sur un logiciel de retouches. 95% des prises sont d’office saturées puis équilibrées en lumière. Je recadre éventuellement puis les visionne en N&B : plus de la moitié de mes photos sont en N&B et toutes celles qui sont du portrait ou avec des droites ou des courbes intéressantes(immeubles, routes, barques…)le sont.
Je dis souvent que la couleur est au vin rouge ce que le N&B est au vin blanc (les adeptes de la dégustation comprendront).
C’est magnifique les photos en noir et blanc! Je trouve personnellement que cela capte bien plus l’œil qui va chercher à mettre des formes et un nom sur les ombres!
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Article vraiment très intéressant
Article vraiment très intéressant ^^
J’aime beaucoup la photo N&B, mais celle que je fais ont tendance à être fades (plutôt grisonnantes…)
La plupart de mes ami(e)s disent que mes photos sont “superbes”. Mais perso, je les trouve plus que passables…
Question de vie ou de mort, qui n’a rien à voir avec la photo.
La chanson qui passe à la fin de ta vidéo “Les 5 astuces pour l’effet “WAOUH!”” C’est quoi le titre?
J’ai une question! J’ai commencé la photo depuis très peu de temps et j’apprécie beaucoup le noir et blanc mais… vaut-il mieux prendre la photo directement en noir et blanc, quand c’est l’effet souhaité ou ajouter le N&B en post traitement?
Merci d’avance 🙂
merci for the information!
Laurent j’ai toujours un soucis pour télécharger le logiciel RawTherapee pour mon PC afin que je puisse m’amuser pour les fichiers ras.
Bonne journée
Désiré
Encore une fois vidéo très intéressante à bientôt
comment
Un petit rappel des fondamentaux toujours bon à se remettre en mémoire.
Merci pour ce partage.
Merci pour ces infos! Si l’on utilise Lightroom ou d’autres logiciels un peu sophistiqués, on peut aussi jouer avec la luminosité de chaque couleur pour donner plus de contraste – par exemple rendre le bleu du ciel plus foncé pour avoir un meilleur contraste avec les nuages …
Moi, quand je veux des photos en N&B, je les prends toujours en couleurs après je fais des retouches pour leur donner cet aspect!!
Bonjour,
justement, est-ce que prendre une photo en noir et blanc OU prendre une photo en couleur et ensuite la traiter en noir et blanc revient à la même chose ?
Pas tout à fait.
Lorsque tu règles ton APN sur le mode N/B, le capteur prend une photo couleur et la transforme en N/B dans l’appareil selon un ou des algorithmes calculés sur la base de millions de photos. Ta marge d’intervention est très faible et est programmée d’avance.
Si tu prends un Raw, toujours en couleur, et que tu le développes en N/B après-coup à l’aide d’un logiciel de retouche tu conserve toute ta liberté de manœuvre et tu peux interpréter ta photo comme tu le sens.
Simple exemple la fonction “tons foncés/tons clairs” va permettre de déboucher les ombres, respectivement dans les clairs d’aller retrouver des détails à priori grillés.
Des photos en noirs et blancs m’impressionne toujours, c’est expressif et même on peut dire que c’est toujours une photo réussie.
Permets-moi d’en douter un peu 😉
Une photo floue en couleur sera toujours floue en NB.
En revanche le rendu ne sera pas le même, et ceci peut influencer sur la perception de celui qui regarde la photo : là je te donne raison 😉
Merci de partager ton expérience et ton savoir-faire dans cet article instructif. Je convertis aussi en N&B lorsque je ne réussis pas à gérer correctement la balance des blancs sur une image prise en lumière artificielle comme cette scène qui étaient éclairée par des spots bleu et rouge. https://www.flickr.com/photos/chenucat/8864662245/in/photostream/
Ou encore lorsque le sujet ne se détache pas vraiment d’un fond dont la couleur n’est pas uniforme comme cette scène de plage : https://www.flickr.com/photos/chenucat/9601627862/in/set-72157627151408969
En effet, superbes photos. Le N&B donne un caractère irremplaçable, beaucoup plus artistique (ou dramatique) que la couleur.
Merci Laurent, je tenais à témoigner toute ma reconnaissance pour ce blog qui m’a mis le ‘pied à l’étrier’. Jour après jour, je prends plaisir à shooter (pas encore en RAW, mais ça va venir). Pour faire une pirouette sur l’article précédent, je voulais témoigner d’une séance photo faite un jour à Londres où la lumière était particulièrement mauvaise (temps gris, où rien ne se distingue correctement). je suivais aussi les apprentissages de Anne Laure Jacquart (dont je ne saurais pas suffisament remercier par ailleurs, et dont je rappelle l’ouvrage que tu avais référencé sur ton blog, Composer, régler, déclencher…) où elle préconisait de savoir jouer sur les couleurs, donc pour cela il faut aiguiser son oeil et les voir. Alors, ce jour là à Londres, où je n’avais que 24h pour shooter, le matin, le midi et après les réunions le soir – et pas le choix sur la lumière, je suis passée en mode désaturation en focalisant sur le rouge (et ben oui!, je l’ai fait avant que tu ne publies ton article!), et j’ai réalisé de formidables photos qui ont bluffé mes collègues de bureau qui n’avait jamais regardé leur quartier sous cet angle: beaucoup de rouge à Londres, comment échapper à la fameuse cabine téléphonique! Sur une même vue, j’ai capté une cabine, un taxi londonien et un bus, tous rouges et cadrés sur une belle diagonale dans un environnement désaturé gris du plus belle effet. Quand je suis tombée à l’angle d’une rue sur une perspective de façade de bureau en contre-plongée, ruelle étroite et toute une façade avec de toutes petites fenêtres… rouges et 2 business men qui déambulaient dans cette ruelle en parlant au téléphone! et oui encore du rouge, de la perspective, une touche humaine et voilà j’ai fait une superbe photo de rue. J’ai été époustouflée quand 50m plus loin je suis tombée sur une rangée de velibs londoniens, tous flanqués d’une publicité bleu turquoise au nom d’une banque célèbre. en passant en désaturation bleue, j’ai saisi ‘au vol’ cet instant magique avec un cycliste aussi un peu plus loin dans le cadre en pull à manches… bleues. j’ai fait un montage avec picasa en combinant 5-6 vues du plus bel effet, façon carte postale! que j’ai partagé avec mes collègues de bureau pour leur apprendre à ouvrir les yeux en allant au bureau!
Tout cela pour dire, que si, on peut ‘intentionellement’ user de la désaturation, pour mettre en valeur son sujet, et aussi s’affranchir d’une mauvaise lumière :).
pour finir, j’ajoute que j’ai un petit compact SOny DSC-WX 300, que j’ai toujours sur moi, – un vrai petit bijou qui peut remettre en question beaucoup d’a priori sur les compacts. je recommande pour perfectionner sa capacité à composer/cadrer. un zoom X20 avec un autofocus qui tient la route même à grande focale. je suis passée au reflex ensuite, un autre style (ne tient pas dans la poche pour saisir la vie au quotidien).
Merci Laurent pour m’avoir contaminée par le virus de la photo… très facile avec ton blog
Bonjour,
Comme quoi le plus important, en photo, c’est l’œil du photographe, pas le matériel. Par contre, un matériel sophistiqué permet d’aller plus loin ou de prendre des photos en conditions plus difficiles.
J’ai commencé avec des reflex, puis j’en ai eu assez de porter tout ce matériel lourd et encombrant et je suis passé à un compact de bonne qualité. Mais maintenant je suis revenu au Reflex numérique, en shootant en Raw. Et c’est définitif.
Pour ceux que cela pourrait intéresser, voici le lien de ma dernière présentation avec des photos de Birmanie (tout le contraire du N&B 🙂 ) :
https://vimeo.com/93158406
Bonjour Jean-Jacques.
Complètement EPOUSTOUFLANT. Ici nous avons Jean-Jacques Edler, mais sur Viméo JJ Meyer … Sans doute des noms d’artistes 😉
Un maître de l’image et du montage. Je trouve 85% des photos splendides, avec des compositions toujours au millimètres, et du côté post-traitement, tu es un champion, même si cela a du te prendre quelques heures. J’ai ouvert un compte VIMEO juste pour pouvoir te laisser un message.
En voyant la qualité de tes images, je me demandais quel genre d’équipement tu avais pris pour aller en Birmanie (reflex ou bridge) et si reflex, avec quel objectif …
Cela fait longtemps aussi que je me tatonne pour faire de petits montages photo en vidéo. Le tien est sublime, avec des musiques en crescendo, et des transitions dynamiques. Un grand bravo …
Mais avec quel outil as-tu réalisé cela ?
Merci pour toute info. Je te laisse mon email : didier.hannot@hotmail.com
A bientôt, Didier
Bonjour Didier,
Et merci pour ton commentaire. Mon vrai nom c’est Jean-Jacques MEYER. 🙂
Chaque photo me prend environ de 10 minutes à 1/2 heure en post-traitement, sous Lightroom 5.4 et Photoshop CC. Je ne fais plus de HDR depuis ces versions et peu de Nik Software également.
Mon matériel, pour la Birmanie en novembre 2012 était un Canon EOS 7D, avec un objectif Tamron EF 24-70 2.8 Di VC USD et un Canon EF 70-200 2.8 L IS II USM.
Depuis je suis passé au Canon EOS 6D, avec en plus un Canon EF 24-70 2.8 L II USM, un Canon Fisheye EF 8-15 4.0 L USM et un Canon Macro EF 100 2.8 L IS USM (plus quelques autres objectifs).
Le post-traitement s’effectue en Raw 16 bits Prophoto (surtout sous Lightroom, Photoshop étant principalement utilisé pour redresser les monuments, les perspectives et effacer l’indésirable). Optionnellement également avec Kolor Autopano Pro 3.5.1 pour les panoramiques (et accessoirement Kolor Panotour Pro 2.0.1 pour les visites virtuelles 360°).
Puis je crée mes diaporamas mi photo/mi vidéo à l’aide de Photodex Proshow Producer 6. Avec des sorties en DVD, Blu-ray et MP4 (cette dernière servant à la visu sur PC, iPad et Viméo sur Internet, en HD 1080p.).
Je partage complètement l’avis de Didier. Ces photos de Birmanie sont magnifiques, elles donnent l’envie immédiate de visiter ce pays. Le post processing est très réussi, le rendu des couleurs et de la lumière est superbe.
Une intervention très intéressante et très enrichissante Magali. Merci.
Comme je visionne toutes mes photos dès que je les glisse sur mon dd, je commence par éliminer. Puis les passe sur un logiciel de retouches. 95% des prises sont d’office saturées puis équilibrées en lumière. Je recadre éventuellement puis les visionne en N&B : plus de la moitié de mes photos sont en N&B et toutes celles qui sont du portrait ou avec des droites ou des courbes intéressantes(immeubles, routes, barques…)le sont.
Je dis souvent que la couleur est au vin rouge ce que le N&B est au vin blanc (les adeptes de la dégustation comprendront).
Bonjour Pat,
“les adeptes de la dégustation comprendront” écris-tu.
Ben non, je ne saisis pas très bien le rapport. Désolé 🙂
C’est magnifique les photos en noir et blanc! Je trouve personnellement que cela capte bien plus l’œil qui va chercher à mettre des formes et un nom sur les ombres!