En 2024, le fabricant japonais Fujifilm dévoile son dernier hybride APS-C : le Fujifilm X-M5. Lancé au prix de 899€ nu, ce boîtier compact et abordable vient renouveler la gamme X-M, abandonnée depuis 2016 et le X-M1.
Equipé d’un capteur APS-C X-Trans 4 de 26,1 Mpx couplé au processeur X-Processor 5, le X-M5 se positionne comme un appareil polyvalent, pensé pour être transporté partout. Son look rétro et son design compact rappellent beaucoup le Fujifilm X-E4, sorti en 2021.
Dépourvu de viseur électronique, le X-M5 mise tout sur son écran tactile orientable de 3 pouces. Il est clairement destiné à un public de photographes nomades et de vlogueurs qui recherchent un appareil discret et facile à transporter. Ses fonctionnalités vidéo poussées en font un choix intéressant pour se lancer dans le vlog.
Malgré son positionnement “entrée de gamme”, le X-M5 bénéficie des dernières avancées technologiques de Fujifilm, notamment au niveau de l’autofocus intelligent et des simulations de films. Principale différence avec les modèles experts : l’absence de stabilisation mécanique du capteur.
Caractéristiques techniques du Fujifilm X-M5
Nom: Fujifilm X-M5
Prix de lancement: 899€ (boîtier nu)
Date de sortie: 14 octobre 2024
Taille de capteur: APS-C
Définition du capteur: 26,1 Mégapixels
Processeur: X-Processor 5
Plage de sensibilité ISO native: 160 à 12800 ISO (extensible de 80 à 51200 ISO)
Visée: aucune (via écran arrière uniquement)
Écran: écran LCD tactile orientable de 3 pouces (1,04 Mpx)
Monture d’objectif: Fujifilm X
Rafale: 5 i/s (mécanique), 20 i/s (électronique), 30 i/s (crop 1,25x)
Stabilisation: non
Obturation: 30s – 1/4000s (mécanique), 30s – 1/32000s (électronique)
Stockage: 1 slot SD UHS-I
Vidéo: 6.2K 30p, 4K 60p, Full HD 240p
Connectique: USB-C, micro HDMI, jack 3.5mm
Dimensions: 112 x 67 x 38 mm
Poids: 355g (avec batterie et SD)
Tropicalisation: non communiqué
- Batterie : NP-W126 (celle du X-T3)
Autonomie: 330 vues (norme CIPA)
Prise en main et ergonomie du boîtier
Avec seulement 112 x 67 x 38 mm pour 355g (batterie et carte SD incluses), le Fujifilm X-M5 se révèle particulièrement compact et léger. Il s’adapte ainsi à toutes les situations et toutes les poches. Son look rétro, notamment dans sa finition Charcoal, est fidèle aux codes Fujifilm.
La prise en main est convaincante pour un si petit boîtier, avec une petite poignée à l’avant et un repose-pouce redessiné à l’arrière qui empêche les pressions accidentelles sur le bouton Q. Le joystick est également de la partie, ce qui est assez rare sur ce segment tarifaire.
On retrouve une molette de sélection des films sur le capot pour profiter des célèbres simulations Fujifilm, sans avoir à aller dans les menus. Un bracketing permet de capturer 3 rendus différents sur chaque cliché. C’est une nouveauté bienvenue pour découvrir l’univers créatif des films Fujifilm sans passer par les menus.
L’écran tactile de 3 pouces et 1,04 Mpx, totalement orientable, se montre pratique pour cadrer, y compris pour les selfies et les vlogs. Sa petit taille demande un peu d’habitude. C’est le prix à payer pour un boîtier aussi compact. On aurait apprécié un peu plus de définition pour une meilleure lisibilité en plein soleil. Le mode boost est cependant efficace dans ce type de situation.
Les commandes, similaires au Fujifilm X-E4, sont simples à appréhender : molette avant pour les vitesses, molette arrière pour l’exposition. Pas de boutons superflus. Les habitués du système Fujifilm seront en terrain connu. Pour les nouveaux venus, l’ergonomie épurée facilite la prise en main, quitte à passer par les menus pour accéder aux options avancées.
On regrette l’absence de protection contre les intempéries, mais c’est un choix logique sur ce segment tarifaire. Les photographes habitués aux boîtiers tropicalisés devront se montrer plus vigilants en cas de pluie. Dommage également pour la coque en plastique qui fait un peu moins premium que le magnésium des modèles supérieurs, même si l’assemblage inspire confiance.
Côté connectique, on dispose de l’essentiel : ports USB-C (charge + data), micro HDMI et prise jack 3,5 mm pour le micro. Cette dernière, astucieusement placée sur la tranche arrière, sera utile pour les vidéastes et les vlogueurs. Pas de prise casque en revanche. On aurait aussi aimé un port pour télécommande filaire et/ou une griffe porte-accessoire, mais les contraintes de compacité priment.
En privilégiant la compacité, inégalée à ce niveau de prix, le X-M5 fait quelques concessions comme le viseur ou la tropicalisation. Mais son ergonomie épurée assume pleinement son rôle d’appareil nomade et intuitif. Le design extérieur reprend les codes esthétiques rétro qui font le charme de la gamme X et donnent envie de le prendre en main. Un vrai petit bijou !
Réactivité de l’appareil
Avec son nouveau processeur X-Processor 5 (celui du Fujifilm X-H2s et du Fujifilm X-T5 notamment), le Fujifilm X-M5 bénéficie d’une réactivité générale satisfaisante, en légère amélioration par rapport à la génération précédente. Les temps de démarrage et de mise au point sont corrects sans être fulgurants. On apprécie la navigation fluide dans les menus tactiles et le mode de mise au point manuelle assistée, bien pratique avec les objectifs vintage.
L’autofocus, basé sur un système hybride à détection de phase et de contraste avec 425 points, intègre des algorithmes d’intelligence artificielle pour reconnaître et suivre les sujets. Concrètement, la détection fonctionne avec les visages et les yeux (humains et animaux). Le X-M5 gère aussi le suivi des véhicules (voiture, moto, vélo, train, avion).
Dans l’ensemble, l’autofocus est réactif et précis, avec un bon taux de réussite tant que les mouvements ne sont pas trop brusques. La couverture des collimateurs est satisfaisante, même sur les bords de l’image. On note des progrès dans le suivi des sujets qui se déplacent en profondeur, grâce au machine learning.
En revanche, le X-M5 reste en retrait par rapport aux cadors de l’autofocus comme Sony et Canon, y compris sur des appareils d’entrée de gamme. Le suivi des sujets rapides et erratiques s’avère parfois hasardeux, surtout en basse lumière. Il faut parfois composer avec des micro-décalages et des rattrapages. Rien de rédhibitoire bien entendu, mais le X-M5 ne sera pas l’outil idéal pour les sports et l’animalier. Pour ces usages, préférez un Fujifilm X-S20, un Fujifilm X-T5, ou mieux un Fujifilm X-H2s.
En rafale, le X-M5 se montre à son avantage avec 5 i/s en obturateur mécanique et jusqu’à 20 i/s (voire 30 i/s avec recadrage) en mode électronique. Des chiffres étonnants pour un si petit boîtier ! Cela en fait un appareil réactif et polyvalent, à condition d’utiliser une carte SD suffisamment rapide. Le buffer autorise une vingtaine de fichiers RAW+JPEG en une seule rafale.
En matière de stabilisation, le X-M5 fait l’impasse sur un système mécanique sur capteur, afin de conserver un boîtier ultra-compact et abordable. Un choix acceptable sur ce segment (on ne peut pas tout avoir). Les vidéastes et les photographes utilisant des basses vitesses devront utiliser des optiques stabilisées ou un trépied. Une stabilisation logicielle en mode vidéo (que nous aborderons plus tard) compense en partie ce manque.
Au final, le Fujifilm X-M5 démontre une belle vivacité au quotidien, sans révolutionner sa catégorie. Son autofocus, bien que perfectible, sera amplement suffisant pour une grande variété de situations. La rafale élevée se révèle convaincante à ce niveau de prix. Quant à la stabilisation, difficile de la blâmer au regard du cahier des charges centré sur la compacité et l’accessibilité. Un bon point pour la réactivité globale !
Qualité d’image du Fujifilm X-M5
Malgré son positionnement tarifaire « premier prix », le Fujifilm X-M5 mise sur une qualité d’image de haut vol grâce à son capteur X-Trans 4 de 26,1 mégapixels, associé au puissant processeur X-Processor 5. Un duo éprouvé qui a fait ses preuves sur les précédents modèles experts comme le X-T4 et le X-Pro3.
Les fichiers RAW démontrent un piqué excellent, même à hauts ISO, des couleurs fidèles et une belle dynamique. Les 26 Mpx s’avèrent suffisants pour la plupart des usages. C’est un bon compromis entre définition et compacité. Les photographes pointilleux regretteront peut-être l’absence du nouveau capteur 40 Mpx, mais celui-ci aurait sans doute renchéri le prix et altéré l’autonomie (c’est même certain !)
Le traitement JPEG intégré impressionne par sa maturité, fruit de l’expérience Fujifilm en la matière. Les fameuses simulations de films (Provia, Velvia, Astia, Classic Chrome…) apportent un rendu sublime aux clichés, les sublimant sans passer par la case retouche. Elles reproduisent fidèlement le grain, le contraste et la palette des films argentiques de la marque. On s’amuse à enchaîner les rendus créatifs avec la molette dédiée.
La nouvelle venue Reala Ace mérite une mention spéciale avec ses tons neutres, ses blancs éclatants et ses bleus légèrement désaturés. Un film équilibré qui conviendra à une grande variété de scènes. Les 20 simulations de film intégrées au X-M5 en font un véritable concentré d’inspiration.
Bien entendu, toutes ces options de traitement sont personnalisables via les réglages de netteté, hautes lumières, ombres, couleur et grain. On apprécie la possibilité de sauvegarder ses propres recettes et de les exporter facilement via un QR Code. Un gain de temps précieux pour développer son style et le retrouver sur ses autres boîtiers Fujifilm. N’oubliez pas que vous pouvez aussi utiliser les simulations de film comme point de départ de post-traitement en RAW, en les choisissant dans l’onglet “Profil” de Lightroom Classic dans le module développement 😉
La montée en ISO est très convenable pour un capteur APS-C. Les clichés conservent un bon niveau de détails et des couleurs naturelles jusqu’à 6400 ISO, voire 12800 ISO en cas de besoin. Bien sûr, les hauts ISO sont un peu en deçà de ceux d’un Full Frame récent. Mais le rendu reste d’un excellent niveau sur ce segment. Le traitement du bruit numérique a été optimisé, notamment en JPEG, pour retenir un maximum d’informations.
Couplé à de bons objectifs Fujinon, le X-M5 délivre des images riches et détaillées au rendu typique Fujifilm. Ses algorithmes de traitement, bien rodés, constituent un atout face aux capteurs plus définis de la concurrence. L’absence de filtre passe-bas favorise la netteté et la micro-définition. Quant à la colorimétrie, elle séduit par sa douceur et sa justesse sans tomber dans l’artificiel.
Un regret cependant : le X-M5 ne dispose pas du mode Pixel Shift, qui permet de générer des images haute résolution en combinant plusieurs expositions. Cette fonction, présente sur le Fujifilm X-S20 et le Fujifilm X-T5, aurait pu compenser (en partie) le manque de définition pour les photographes de paysage et d’architecture. Peut-être une piste d’amélioration via firmware ?
En définitive, le Fujifilm X-M5 se montre à la hauteur de l’héritage Fujifilm en matière de qualité d’image. Son capteur APS-C 26 Mpx, associé aux simulations de films, produit de superbes résultats. Ses hautes sensibilités ISO maîtrisées en font un bon compagnon en basse lumière. Une belle réussite pour un hybride aussi compact et abordable !
Le Fujifilm X-M5 en vidéo
Sans rentrer dans les détails, voici un rapide aperçu des capacités vidéo du X-M5, ce blog étant avant tout dédié à la photo :
Vidéo 6.2K 30p (rapport 3:2) pour faciliter le recadrage
4K DCI et UHD 60p (recadrage 1.14x)
F-Log2 pour optimiser la dynamique
Ralentis Full HD jusqu’à 240 fps
Sortie HDMI pour enregistrer en Apple ProRes RAW ou Blackmagic RAW (via enregistreur externe)
Stabilisation numérique (recadrage plus ou moins marqué selon la définition)
Micro stéréo intégré avec réducteur de bruit et coupe-vent
Mode vlog avec cadres d’aide à la composition
Limitation durée d’enregistrement en 4K et 6K (surchauffe)
Ses capacités sont appréciables pour des séquences occasionnelles, des vlogs et des souvenirs de voyage. Pour des projets vidéo plus ambitieux, les Fujifilm X-S20, X-T5 et surtout X-H2 seront plus adaptés.
Points forts et points faibles du Fujifilm X-M5
Comparaison du Fujifilm X-M5 avec les appareils concurrents
Sur le marché des hybrides APS-C abordables, le Fujifilm X-M5 affronte des concurrents de taille. Voici un rapide comparatif de ses principaux challengers :
– Canon EOS R100 : ce petit hybride mise sur un capteur APS-C de 24 Mpx et un autofocus Dual Pixel CMOS AF II hérité des modèles experts. Des arguments de poids, renforcés par la tropicalisation du boîtier et un tarif inférieur d’une centaine d’euros. En revanche, il se contente d’une vidéo 4K et son écran n’est pas tactile. Son look plus classique plaira moins aux amateurs de vintage.
– Sony ZV-E10 : spécialiste de la vidéo, ce boîtier embarque la célèbre technologie autofocus de Sony, une stabilisation intégrée et un enregistrement vidéo 4K sans limitation de durée. Des atouts bienvenus pour les vlogueurs, de même que son écran tactile orientable. Côté photo, son capteur 24 Mpx ne rivalise pas avec le piqué du X-Trans, et son look passe-partout manque peut-être de charme face au design -rétro de Fujifilm.
– Fujifilm X-S20: le principal rival du X-M5 est interne ! Plus polyvalent, le X-S20 conserve le même capteur mais y ajoute la stabilisation mécanique, indispensable pour la vidéo. Son autofocus est identique, de même que la qualité d’image. Sa meilleure autonomie (750 vues) et son mode vidéo sans surchauffe en font un choix plus sûr pour un usage intensif. En contrepartie, il abandonne la molette des films argentiques et affiche un look plus conventionnel, moins inspirant au quotidien.
Dans cette bataille, le X-M5 tire son épingle du jeu grâce à sa compacité record, ses simulations Fujifilm directement accessibles et son tarif contenu. Des arguments imparables pour les photographes nomades en quête d’un boîtier inspirant et facile à transporter partout. Face au Fujifilm X-S20, le choix dépendra des priorités : look et compacité pour le X-M5, polyvalence et autonomie pour le X-S20.
- Prix
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- Capteur
- Sensibilité ISO
- Visée
- Ecran
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- Buffer en RAW
- Stabilisation
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- APS-C - 26 Mpx
- 160 - 12800
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- 6.2K 30 i/s - 4K UHD 60 i/s - 4K DCI 60 i/s - 1080p 60 i/s
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- APS-C - 24 Mpx
- 100 - 12800
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- -
- 6,5 i/s
- oui
- 1 SD
- 4K UHD 24 i/s - 1080p 60 i/s
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- 160 - 12800
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- 3″ - 1,84 Mpx - tactile - sur rotule
- -
- 30 i/s
- 28
- oui
- 1 SD
- 4K DCI 60 i/s - 4K UHD 60 i/s - 1080p 240 i/s
- 127 x 85 x 65 mm
- 491 g
- non
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Est-ce l’appareil de vos rêves ?
Avec son look rétro attachant, sa compacité record et sa qualité d’image héritée des modèles experts, le Fujifilm X-M5 coche beaucoup de cases pour les photographes nomades recherchant un compagnon quotidien discret et performant. Son capteur APS-C 26 Mpx et ses simulations de films en font un formidable concentré de créativité, idéal pour développer son style sans se ruiner.
Les baroudeurs et les voyageurs apprécieront son faible encombrement qui lui permet de se faufiler partout. Mais ils devront composer avec l’absence de tropicalisation, ou opter pour des optiques “WR” (Weather Resistant). De même, les photographes de rue seront séduits par sa discrétion et sa molette de films argentiques qui ravive la flamme de la photographie spontanée. Mais gare aux doigts qui dépassent sur le petit grip !
Du côté des vidéastes, le X-M5 remplit son contrat avec des fonctions avancées comme la 6K, le F-Log ou la sortie RAW. De quoi ravir les vlogueurs et les adeptes de montage poussé. L’écran tactile orientable et le mode “vlog” dédié facilitent la prise de vue en solo. Seule ombre au tableau : l’enregistrement limité en 4K et 6K pour cause de surchauffe. Les projets les plus ambitieux devront se tourner vers un Fujifilm X-S20, voire un X-H2 pour les pros.
Enfin, les débutants trouveront dans le X-M5 un compagnon idéal pour progresser sans se ruiner. Son ergonomie épurée et ses commandes simplifiées (pas de PASM !) facilitent l’apprentissage des fondamentaux (vitesse, ouverture, ISO). Les simulations de films directement accessibles incitent à tester différents rendus facilement, pour se concentrer sur la composition et développer son regard. La compacité du boîtier permet de l’emmener partout pour multiplier les occasions de progresser.
Bien sûr, le X-M5 n’est pas exempt de défauts. On regrettera notamment l’absence de viseur électronique qui peut s’avérer gênante en plein soleil, ou pour les photographes habitués à ce mode de visée. De même, l’autonomie limitée (330 vues) obligera à prévoir des batteries de rechange lors des longues sessions. Un emplacement pour deux cartes SD aurait été appréciable pour sécuriser ses images ou alterner RAW et JPEG.
Enfin, difficile de passer à côté de quelques concessions techniques comme la stabilisation mécanique ou la tropicalisation, sacrifiées sur l’autel de la compacité et du prix. Ce parti pris assumé ne conviendra pas à tous les photographes, notamment les plus exigeants ou les habitués des défis climatiques. Pour ces profils, le Fujifilm X-S20, voire le Fujifilm X-T5, seront des compagnons plus complets et endurants.
Au final, le Fujifilm X-M5 s’impose comme un choix pertinent pour tous les photographes en quête d’un appareil compact, inspirant et performant sans se ruiner. Son excellent rapport qualité-prix en fait une porte d’entrée idéale dans le monde Fujifilm et son héritage argentique. Grâce à son capteur APS-C musclé et à ses simulations de films uniques, il promet de réveiller votre créativité au quotidien.
Et vous, êtes-vous sensible au charme rétro du X-M5 ? Son format compact et son tarif attractif vous font-ils de l’œil ? Ou préférez-vous miser sur la polyvalence d’un X-S20 ? Partagez votre avis dans les commentaires !
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