Cet article invité a été rédigé par Régis Moscardini du blog de photo animalière Auxois Nature. Sur son site internet, il propose en téléchargement un recueil des conseils des meilleurs photographes animaliers ainsi qu’un guide d’achat du débutant en photo.
Un peu de définitions
Avant d’entrer vraiment dans la technique, désolé d’en passer par là, je suis obligé de vous donner deux définitions pour savoir de quoi on parle.
Qu’est-ce qu’un panorama ?
Au sens large (sans jeu de mots), un panorama est une vue sur un vaste paysage. Une autre définition, bien plus précise celle-ci car empruntée à l’Académie française (accrochez-vous quand même car ça ne rigole pas !) : “un panorama est un grand tableau circulaire et continu, disposé de manière que le spectateur placé au centre voit les objets représentés, comme si, placé sur une hauteur, il découvrait tout l’horizon dont il serait environné.” Ça va toujours ?
Qu’est-ce qu’une photo panoramique ?
Du point de vue du spectateur : malgré son aspect très encyclopédique, cette dernière définition est la base de la notion de photographie panoramique. Avez-vous déjà observé une photo panoramique grand format dans une exposition ? J’ai eu cette chance lors du dernier festival de photo nature et animalière de Montier-en-Der et c’est exactement ce que j’ai ressenti : placé au centre de la photo, je découvrais tout l’horizon devant moi, un véritable panorama.
Du point de vue du photographe : c’est l’assemblage de plusieurs photos entre elles. Ainsi, c’est le rapport longueur/largeur qui va déterminer le format d’une image. Un célèbre format est celui des cartes postales : il est de 3/2, dit en centimètres, ça donne une image de 10 cm x 15 cm. Une impression photo panoramique, on y arrive, n’a pas du tout le même rapport longueur par largeur : il est de 1/2, 1/3, ou plus. Quand la longueur mesure 1 cm, la largeur fait elle 2 cm, 3 cm ou plus. C’est donc un format d’image allongé. On peut même aller vers des rapports comme 1/7 qui donnent des photos tout en longueur, typiques des photographies en 360° degrés.
Le numérique a mis un sacré bazar dans ces histoires de formats d’images avec l’apparition de nouveaux supports. Par contre, il a énormément facilité le travail des photographes dans la création photographique, la photo panoramique en est le meilleur exemple. Tout photographe n’est plus limité comme il l’était au temps de l’argentique !
Pour résumer cette intro qui n’est peut-être pas très digeste mais nécessaire : une photo est panoramique quand elle est plus large que longue ou allongée … c’est vrai que sans les chiffres c’est beaucoup plus simple ! Vous avez maintenant bien mérité de lire la suite 🙂 .
Que prendre en photo panoramique ?
Commençons par une règle fondamentale : une photo panoramique sert à mettre en valeur un sujet. Ne faites pas de panoramique juste pour créer une image allongée, c’est à la portée de tout le monde. Non, pour se démarquer du commun des photographes, je le répète, le format panoramique a pour seul objectif de sublimer un élément particulier de l’horizon. Alors quoi ?
Voyons quelques exemples :
- un arbre isolé
- un phare sur la mer
- un immeuble particulier
- un coucher / lever soleil (attention, c’est difficile)
- une maison de campagne
- un grand mammifère, …
Comme toujours en photographie, votre imagination sera votre limite … et aussi ce que vous avez devant les yeux ! Je rappelle qu’une photo panoramique est la prise d’un vaste paysage. D’accord pour l’arbre isolé mais en ayant beaucoup, beaucoup d’horizon en face de vous.
Une astuce pour bénéficier de conditions optimales, est de se mettre en hauteur. N’allez pas jusqu’à grimper au sommet d’un arbre avec appareil, objectifs et trépieds. Souvent, se placer juste sur un rocher, sur un poteau voire sur le toit de votre voiture (!) vous fera accéder à un panorama que 99 % des personnes ne voient pas. Fidèles lecteurs de ce blog, Laurent répète souvent de se mettre à ras de terre en pleine ville pour changer son angle de vue, moi je vous dis le contraire 😉 En photo panoramique, levez-vous et faites-vous grands !
Dans l’exemple ci-dessous, la scène environnante permet de montrer l’isolement du phare. On est d’accord, le format panoramique est au service du sujet choisi, et non l’inverse : la star c’est le phare, le pano un faire valoir (vous pouvez compter, il y en a douze, c’est bien un alexandrin 🙂 )
Résumé
- Choisir un sujet et l’entourer de son environnement
- Trouver, si possible, un point de vue en hauteur
Bien choisir votre équipement
Il faut absolument que votre appareil photo soit débrayable : il doit vous permettre d’accéder aux réglages manuels, bref, d’abandonner le tout automatique. Si vous n’êtes pas prêt pour ça, vous risquez d’être déçu du résultat. Ok, certains appareils possèdent des modes scènes appelés Panoramique, et ça doit certainement bien fonctionner … mais honnêtement, quel plaisir prendre à photographier en laissant l’appareil tout faire ? Soyez actifs, ne laissez pas réfléchir des processeurs à votre place !
Alors pour quelles raisons le mode manuel est indispensable ? Les photographies qui composeront votre image doivent être exposées à l’identique. Même obligation pour la balance des blancs. Donc, avec le mode Auto, l’appareil pourrait bien shooter une première photo avec un réglage particulier et la suivante avec un autre réglage ! Vous allez bien rigoler par la suite pour assembler les deux avec des expositions différentes ! Il vous donc faut garder la main sur l’exposition, la balance des blancs et ne rien changer sur les prises de vues successives.
Sans aucune contrainte de budget, la configuration idéale serait la suivante :
- Un reflex
Je ne m’attarde pas sur ce point, votre reflex conviendra forcément, et si vous avec un compact, le passage en mode manuel ira très bien… par contre l’objectif imposé n’est pas optimal. - Un objectif à focale fixe
Là, c’est très important ! Une photo panoramique étant l’assemblage de plusieurs photos, cette association se fait en collant les bords des photos … problème, ces parties périphériques sont là où se concentrent les défauts des images ! Un bon objectif pour la photo panoramique est donc celui qui réduit les défauts sur les bords. Les défauts embêtants pour l’assemblage sont les suivants :- Le vignettage : assombrissement des coins de la photo
- La perte de netteté par rapport au centre
- Les distorsions : courbure des lignes droites
A priori, les objectifs à focale fixe, c’est-à-dire sans zoom, sont ceux qui réduisent le mieux ces défauts. Il faudrait un article entier sur ce sujet passionnant de l’optique, ça n’est pas le sujet ici. Ceux qui sont à fond sur ce thème peuvent y aller dans les commentaires !
Gardez à l’esprit que les photos prises avec des objectifs décrits ci-dessus s’assembleront normalement mieux. Je pense que l’utilisation de focales allant du 28 mm au 50 mm est très intéressante (équivalent 24×36, soit environ 18 à 35mm sur un capteur APS-C). Aucun intérêt à utiliser un ultra-grand angle car les distorsions sont très présentes.
- un bon trépied
Il doit être bien stable (c’est quand même un minimum pour un trépied). Si vous êtes satisfaits du vôtre, gardez-le, il conviendra très bien.
Avec un peu d’entrainement, on peut très bien prendre des photos à main levée qui s’assembleront bien, mais vous mettrez toutes les chances de votre côté avec un trépied. On verra pourquoi plus loin.
Résumé
- Avoir un appareil photo en mode manuel, le mieux étant un reflex.
- Avoir un objectif à focale fixe de 28 mm à 50 mm équivalent 24x36mm.
- Posséder un trépied.
Réglages de l’appareil photo
On l’a vu, laissez tomber les réglages automatiques car ils peuvent changer vos expositions d’une image à l’autre et ainsi ruiner votre panorama.
Comment définir la bonne exposition
C’est un moment important, indispensable, mais pas très difficile à mettre en œuvre. L’idée ici est de faire une mesure moyenne de la lumière sur l’ensemble de la zone à photographier. Les appareils actuels sont tous pourvus de posemètres intégrés efficaces : mesures de la lumière matricielles et autres systèmes multizones fonctionnent assez bien, peu importe la marque utilisée.
Le principe étant posé, à présent comment mesurer la lumière sur le panorama. Suivez le guide :
- Réglez votre appareil photo sur priorité ouverture.
- Choisissez une ouverture de paysage comme f/8 ou f/11, et ne la changez plus.
- Trouvez une zone de l’horizon avec une luminosité moyenne : facile, ça n’est ni la partie la plus foncée, ni la plus claire 🙂
- Prenez une photo de cette zone.
- Observez l’histogramme affiché par le reflex : il doit normalement être bien équilibré.
- Si les autres zones du paysage ne sont pas trop à l’ombre ou pas trop lumineuses, conservez vos réglages.
- Par contre, si la luminosité est trop extrême à ce moment, vous pourrez faire une correction d’exposition afin de retrouver un histogramme identique à celui de la première photo.
Comment régler la balance des blancs
Un petit rappel : cette balance est en gros ce qui donnera le ton de la couleur à l’image. C’est aussi ce qu’on appelle la température de couleur.
Vous avez deviné j’espère ! Encore ici le réglage manuel est de mise. Laissez choisir l’appareil et voilà ce qu’il peut se passer : une première photo en mode soleil, la suivante en mode nuageux, et la troisième en mode ombre ! L’assemblage de ces trois images aux températures de couleur disparates donnera un panorama … bizarre.
Désactivez la balance automatique des blancs et optez pour celle correspondant à la situation d’ensoleillement. Comme vous serez toujours en extérieur ce sera généralement “soleil” ou “nuage”. Que ce soit pour la lumière ou la température de couleur, le maitre mot est la cohérence.
Note de Laurent : Si vous travaillez en RAW, il n’y a aucun problème, puisque vous pourrez fixer la même température de couleur pour toutes les images lors du développement 😉
Résumé :
- Réglez la molette sur priorité ouverture.
- Choisissez une ouverture comme f/8 ou f/11.
- Prenez une photo d’une zone à la lumière moyenne.
- Vérifiez que les écarts de lumière ne sont pas trop importants.
- Si c’est le cas faites les corrections d’exposition nécessaires.
- Désactivez la balance des blancs automatique.
- Choisissez le mode “soleil” ou “nuage” et gardez-le jusqu’à la fin.
La prise de vue
Idéalement, le trépied sur lequel est fixé l’appareil photo doit être de niveau. Possible que votre trépied en soit pourvu, sinon, des accessoires peuvent se mettre sur le porte griffe du reflex. Et si vous n’avez rien de tout ça, tant pis, ne vous cassez pas la tête, réglez à vue d’œil ! On ne va pas se priver de prendre une photo juste parce qu’on n’a pas de niveau à bulle. Et puis oubliez le niveau de bricolage, trop lourd et trop encombrant 😉
Intuitivement, on a plutôt envie d’orienter son appareil en mode paysage, normal puisqu’on prend un paysage 🙂 . Juste une chose : rappelez-vous que le but est en fin de compte d’assembler des photos entre elles : un mode portrait (vertical) donnera un rapport plus équilibré entre la hauteur et la largeur. N’hésitez donc pas à tester cette orientation !
Fin prêt, il ne vous reste plus qu’à déclencher. Commencez par la gauche (vous préférez à droite ? Ok !), shootez et pivotez le reflex vers la droite en prenant grand soin de faire chevaucher chaque nouvelle image d’environ 25 à 30 pour cent sur la précédente. Perso, un de mes collimateurs (les petits carrés de mise au point) placé au bon endroit dans le viseur me sert comme point de repère. Sinon, utilisez des éléments du paysage : un arbre, un bâtiment, un nuage, … Cette astuce est primordiale : si vous ne pensez pas à faire se chevaucher les images successives, votre ordinateur sera incapable d’assembler les photos, faute d’éléments communs.
Enfin, à moins de vouloir tenter l’effet du siècle, je vous déconseille de faire des photos panoramiques par temps venteux, au moins le temps de faire vos armes. Les feuilles, les herbes au premier plan pourraient être floues, et l’assemblage risque d’être problématique. Le problème peut être facilement réglé avec une vitesse d’obturation élevée, pensez-y ! Même chose avec les vagues : une vitesse lente devrait produire un bel effet de filé, sauf qu’à nouveau l’assemblage sera difficile. Sinon, tentez le coup, juste pour voir : si c’est un raté, personne n’en saura rien 😉
Résumé
- Assurez-vous que votre trépied est à niveau.
- Orientez le reflex en mode portrait.
- Faites chevaucher les prises de vues successives de 25 à 30%.
- Soyez prudents sur les effets de filé en vitesse lente.
Assembler vos images
Vous venez de faire le plus dur ! La partie technique d’assemblage est très facile … à condition d’avoir bien travaillé lors des précédentes étapes !
Je me dois de vous dire qu’il faut impérativement un logiciel dédié à cette tâche. Heureusement, il en existe de nombreux : des gratuits, des payants, des cher, des pas cher, des bons des moins bons. Peut-être existe-t-il une fonction prête à l’emploi sous Raw Therapee. Si oui, Laurent pourrait nous faire une petite vidéo ?
Note de Laurent : Non, RawTherapee fait uniquement du RAW, pas du pano 😉
Voici ci-dessous une liste non exhaustive de quelques outils :
- Microsoft Ice de Microsoft : gratuit
- Hugin : gratuit (Note de Laurent : et libre de surcroît, j’en ai entendu beaucoup de bien 😉 )
- Autopano de Kolor : payant, de 120 à 240 €
- ImageAssembler de Panavue : payant, de 50 à 150 €
Il y en a d’autres, à partir du lien donné en fin d’article, vous aurez davantage d’informations.
Vous vous en doutez, je ne vais pas, pour chaque logiciel, expliquer pas à pas les procédures. Je n’ai pas le temps, et vous non plus d’ailleurs ! Je ne me défile pas pour autant, voici, en règle générale, la méthode à appliquer pour n’importe quel logiciel :
- D’abord charger les images à assembler dans le logiciel concerné.
- Renseigner les informations demandées : l’objectif utilisé, la focale employée, …
- Gardez tous les réglages par défaut, ne vous embêtez pas trop. Laissez notamment l’alignement automatique des meilleurs résultats.
- Appuyez sur … Entrée, Ok, Validez, bref, le bouton de lancement de l’opération.
- Après quelques instants dont la longueur dépend de vos photos, de votre ordinateur et du logiciel, votre superbe panorama est enfin là !
- Courage, c’est presque fini ! Assurez-vous maintenant de couper les bords à l’extérieur, il se pourrait qu’il y ait des zones noires à enlever
- C’est bon, vous êtes arrivés à destination. Enregistrez la nouvelle image obtenue dans le format de votre choix : Jpeg pour le partage, PSD pour la retouche dans Photoshop ou ailleurs.
Résumé
- Choisir un logiciel d’assemblage gratuit ou payant.
- Suivre les indications données par le logiciel.
- Exporter votre photo dans le format d’image choisi.
- Éventuellement retravailler la photo.
Note importante
Avec ce que vous venez de lire, vous devriez faire de beaux panoramas. Ces conseils sont suffisants pour réaliser des photos panoramiques très intéressantes. Mais je dois être honnête avec vous : ça n’est qu’une toute petite partie de ce qu’il est possible de faire. Car comme dans bien des domaines, s’il l’on creuse un peu, on peut aller très loin dans la photo panoramique : réglages très poussés, matériels dédiés, logiciels perfectionnés, la seule limite sera votre temps … et votre argent !
Vous avez réalisé quelques pano sympas et souhaitez justement vous améliorer ? Il y a un site internet grâce auquel vous saurez tout sur tout. Particulièrement bien fait, c’est une mine d’or. Cliquez ce lien pour visiter le site internet d’Arnaud Frich : Guide de la photo panoramique
Amusez-vous bien !
Si vous êtes plus particulièrement intéressés pas la photographie animalière et de nature, je serais heureux de vous accueillir sur mon blog www.auxoisnature.com
Et n’oubliez pas de partager l’article ! 🙂
Bonjour,
Je prends contact avec vous pour partager modestement ma passion pour la photo panoramique que je pratique depuis une quinzaine d’années.
Amateur sans doute, autodidacte aussi avec l’aide très pédagogique d’ internet et de vos conseils, j’ai construit ma tête panoramique sur mesures, détermination du point de rotation idéal empirique, selon l’appareil que j’utilise, un bridge Panasonic Lumix FZ28 , 10 mpx, qui date certes mais qui me donne jusqu’à présent entière satisfaction, avec la particularité d’un point de rotation idéal constant selon la focale utilisée …
J’utilise Kolor Autopano Pro, obsolète et abandonné, ainsi qu’ Adobe Photoshop CS4, sous Windows XP, obsolète aussi mais ne le suis je pas moi même à l’âge dépassé de mon moyen âge, puisque je suis toujours à l’âge de Pierre, mon prénom …
Je suis en train de mettre en ligne un site personnel pour présenter mes réalisations, avec aussi quelques surprises … planétaires …
Aussi je vous invite à découvrir mes paysages, monuments, panos natures et autres déviations … sur
https://pn42panhorizons.simdif.com
J’y ai mis un lien vers votre adresse Web que je trouve très instructive. J’espère que vous m’en pardonnerez.
Je vous remercie de l’accueil que vous saurez accorder à cette invitation, et dans l’attente de votre visite qui sera mon meilleur encouragement, j’espère que vous saurez accorder un peu de votre temps à une réponse …
Cordialement. Pierre.
Microsoft ICE
Oui, j’ai constaté que l’excellent logiciel gratuit ICE de Microsoft n’est plus disponible.
Alors attention, je suis passé de Win 10 à Win 11 et j’avais une sauvegarde de l’installateur Microsoft pour le réinstaller. Sinon, presque introuvable. Pourtant la dernière version disponible est très au point et fonctionne à merveille sous Win 11, elle corrige admirablement les différences d’exposition lorsqu’il n’y a rien de noir ou de surexposé dans les clichés individuels.
Sans doute une histoire d’accord de droits entre MS et le créateur, je ne vois pas de raison technique ! C’est bien dommage.
Merci Régis . article super,au dela de ce que j’attendais.C’est clair ,net et précis.Mille merci.
très intéressant (comme toujours)
Un point (de détail) cependant : j’ai lu/vu quelque part (ou ?) qu’il ne fallait pas des chevauchements entre 2 photos qui soient trop importants (50% ?). Pourquoi ?
A priori plus on a de parties en double plus il est facile de faire un assemblage sans risque d’erreur !
Ou est mon erreur ?
Cdlt
Jean
Bonjour Vincent,
50% ça me semble beaucoup en effet, 1/3 c’est plus raisonnable 🙂
Pourquoi ? Ça c’est aux logiciels d’assemblage de nous le dire – attention à ne pas trop réfléchir non plus 😉
Très intéressant. Pas contre, pour l’alexandrin, il faut que chaque hémistiche fasse 6 pieds, non ? :-p
Très intéressant.Je débute et débuterai toujours car j’ai simplement un Compacr Canon Ixus 860 et ai une vue plutot mauvaise pour faire de la photo avec un réflex.En revanche j’ai travaillé les aspects optique. Informatique, physique et esthètiques de la photo. Pour le panoramique, j’ai fusionné avec Photostich de Canon et aussi Merge de Photoshop et je cherche des explications sur la géométrie des diverses mèthodes d’assemblage telles que Photoshop les propose et aussi quel est geometriquement l’effet de la focale sur l’assemblage
Bonjour,
J’ai lu beaucoup de commentaire et je dois dire qu’il y a beaucoup de choses fausses ou mal comprises.
Dans ton article, il
Manque certains points essentiels.
Le fait de prendre des panoramiques par assemblage est bien plus compliquer que cela même si c’est un bon début.
Il manque surtout un des points important sur la pupille d’entrée lors d’un emploi sur trépied et la façon de prendre le panoramique a main levée.
Il manque aussi les filtres a me pas utiliser comme les filtres polarisés par exemple…
Certains pensent que me pas tourner autour de la pupille peut être rattrapé par le soft… Non! Les erreurs sont rattrapée dans certains cas par le smartblending mais pour les petites erreurs!
Et pourquoi des focales fixes? C’est faut! Cela fait longtps que les softs corrigent la distordrions et le vignetages que possèdent d’ailleurs aussi les fixes!
Le panoramique est une photo, la composition de l image en est que plus visible !
Et les têtes panoramiques ne sont pas si cher que ça. Certaines marques sont moins cher comme panosaurus par exemple.
Et en faire une avec un peu d’huile de coupe n est pas difficile.
Sur mon blog vous trouverez quelques tutoriels mais vous trouverez beaucoup plus sur le site de panophoto.org.
A bientôt !
pour moi dans le panoramique y a deux problemes…. dejà la pupille d’entrée et ensuite l’exposition… si on fait un 360° on a forcément le soleil quelque part ou alors on fait des panos par mauvais temps.
la pupille d’entrée c’est simple comme tout mais les marchands en profitent pour prélever leur dime (tete panoramique) alors qu’il suffitt de faire une plaque solide entre la fixation sur l’appareil numerique et la fixation sur le trepied avec le repere de la pupille d’entrée au dessus de la colonne du trepied. et ensuite ca marche tres bien.
l’exposition, c’est pas tres dur non plus… faut prendre l’endroit le plus contrasté, se mettre à f/11 et ensuite noter la vitesse du ciel, celle des parties claires du sujet, des parties moyennes du sujet et les parties sombres et à chaque rotation on prends à 1/800 le ciel, 1/400 sujet clair, 1/125 sujet moyen et 1/30 les ombres.
le pano c’est de la technique. Pour réussir on doit etre rigoureux.
pour moi dans le panoramique y a deux problemes…. dejà la pupille d’entrée et ensuite l’exposition… si on fait un 360° on a forcément le soleil quelque part ou alors on fait des panos par mauvais temps.
la pupille d’entrée c’est simple comme tout mais les marchands en profitent pour prélever leur dime (tete panoramique) alors qu’il suffitt de faire une plaque solide entre la fixation sur l’appareil numerique et la fixation sur le trepied avec le repere de la pupille d’entrée au dessus de la colonne du trepied. et ensuite ca marche tres bien.
l’exposition, c’est pas tres dur non plus… faut prendre l’endroit le plus contrasté, se mettre à f/11 et ensuite noter la vitesse du ciel, celle des parties claires du sujet, des parties moyennes du sujet et les parties sombres et à chaque rotation on prends à 1/800 le ciel, 1/400 sujet clair, 1/125 sujet moyen et 1/30 les ombres.