Deux ans après le lancement du très réussi OM-1, OM System revient en 2024 avec l’OM System OM-1 Mark II, une mise à jour de son hybride micro 4/3 professionnel. Successeur direct de l’OM-1, l’OM-1 Mark II conserve les bases solides de son prédécesseur, tout en apportant son lot d’améliorations, notamment au niveau de l’AF, de la stabilisation sur 5 axes, du suivi des sujets et des filtres créatifs comme le Live GND.
L’OM-1 avait marqué un tournant en 2022, en tant que premier boîtier développé après le rachat de la division imagerie d’Olympus par OM Digital Solutions. Il introduisait un nouveau capteur Live MOS BSI empilé de 20 Mpx associé au puissant processeur TruePic X, offrant une vitesse de lecture élevée, une plage dynamique accrue et des performances AF largement améliorées grâce à la technologie Quad Pixel AF pour une mise au point automatique précise.
Avec l’OM-1 Mark II, OM System entend perfectionner une formule déjà très réussie, sans pour autant révolutionner son fleuron. Le boîtier conserve ainsi le look rétro distinctif de l’OM System OM-1 avec son châssis compact et léger en magnésium (599 g), sa très bonne construction et sa tropicalisation de niveau IP53.
Il est compatible avec toutes les optiques micro 4/3, en particulier les récents zooms M.Zuiko Digital ED Pro comme le 12-40mm f/2.8 II ou le nouveau super-téléobjectif 150-600mm f/5-6.3. Un catalogue riche qui permet de couvrir toutes les focales du 14mm au 2400mm (eq. 24×36) dans un encombrement et un poids réduits pour une expérience de prise de vue optimale.
Le prix de lancement de cet appareil photo OM System OM-1 Mark II est fixé à 2399 €, soit 200 € de plus que l’OM-1 à sa sortie. Un positionnement tarifaire élevé qui mise sur la compacité et la polyvalence de la ligne OM System, ainsi que sur la réputation de robustesse et d’étanchéité de la marque.
Caractéristiques techniques
Voici les caractéristiques techniques de cet appareil photo OM System OM-1 Mark II :
Nom : OM System OM-1 Mark II
Prix de lancement : 2399 €
Date de sortie : 30 janvier 2024
Taille de capteur : Micro 4/3 (17,4 x 13 mm)
Définition du capteur : 20,4 mégapixels
Processeur : TruePic X
Plage de sensibilité ISO native : 200 à 25600 ISO (extensible à 102400 ISO)
Visée : électronique, viseur OLED de 5,76 Mpts, grossissement 1,65x, rafraîchissement 120 im/s, dégagement oculaire 21 mm
Écran : 3 pouces, 1,62 Mpts, tactile, orientable sur rotule
Monture d’objectif : Micro 4/3
Rafale : 50 i/s en RAW (AFC, obturateur électronique), 120 i/s (AFS, obturateur électronique), buffer 213 images RAW
Stabilisation : Oui, sur 5 axes, jusqu’à 8 IL (boîtier seul) ou 8,5 IL (avec optique Sync IS)
Obturation : 1/8000s (obturateur mécanique), 1/32000s (obturateur électronique)
Stockage : 2 slots SD UHS-II
Vidéo : 4K DCI à 60p, Full HD à 240p, 10 bits 4:2:2 en interne, pas de limite de durée
Connectique : USB-C (recharge/transfert), micro HDMI, prise micro et casque 3,5mm, synchro-flash
Dimensions : 134,8 × 91,6 × 72,7 mm
Poids : 599 g (batterie et carte SD incluses)
Tropicalisation : Oui, certification IP53 (étanche à la pluie et poussière)
Batterie : BLX-1 (jusqu’à 520 vues selon norme CIPA)
Fonctions avancées : Live Composite, Focus Stacking, StarryAF, Live ND (jusqu’à ND128), Anti-Flicker, Bracketing d’exposition/focus/flash, High Res Shot 80 MP
Prise en main et ergonomie du boîtier
L’OM System OM-1 Mark II reprend le châssis robuste en alliage de magnésium de son prédécesseur, le rendant à la fois léger (510g) et résistant. OM System a apporté quelques retouches ergonomiques mineures comme l’ajout d’un nouveau revêtement en caoutchouc plus adhérent sur les molettes avant et arrière, s’inspirant des récents PEN E-P7 et OM-5. Un bon point pour la préhension de l’appareil photo, surtout lors des prises de vue à main levée avec des gants ou les doigts mouillés.
Pour les photographes animaliers, il est désormais possible d’affecter la touche Corbeille pour accéder directement au menu, ce qui facilite son accès sans lâcher sa prise sur l’imposant 150-400mm F4.5 ou le nouveau 150-600mm F5-6.3. Un détail qui compte pour réagir rapidement lors des prises de vue d’action.
OM System a conservé l’écran tactile orientable monté sur rotule, un vrai plus pour le vlog ou la photo depuis des angles extrêmes. Combiné à la nouvelle stabilisation ultra-efficace, il permet aussi de capturer des images ou vidéos à bras levé même avec des super-téléobjectifs.
Le viseur OLED conserve son excellente définition de 5,76 Mpts et son grossissement généreux de 1,65x (équivalent 24×36) qui favorisent une mise au point précise. Son taux de rafraîchissement passe à 120 Hz, soit 2x plus rapide que l’OM-1, pour un suivi plus fluide des déplacements ultra-rapides et moins d’effet de filé ou de saccade. C’est agréable à l’usage ! Le dégagement oculaire de 21 mm reste confortable, même pour les porteurs de lunettes.
Le boîtier est plus réactif en visée grâce à une réduction du temps de Blackout, ce qui procure une expérience de visée quasi ininterrompue, exploitant au mieux la vitesse de lecture élevée du capteur empilé BSI Live MOS. Pratique et plus facile pour garder l’oeil sur un sujet qui se déplace rapidement lors des prises de vue.
Comme son aîné, l’OM-1 Mark II bénéficie de la certification IP53, garantissant son étanchéité aux éclaboussures, à la poussière et son fonctionnement jusqu’à -10°C. Un must pour les baroudeurs qui veulent profiter de la compacité du système OM System sans sacrifier la robustesse.
L’excellente construction et le “look” rétro conservé assurent à l’OM System OM-1 Mark II un bon équilibre et une prise en main agréable. Avec un des zooms compacts de la ligne M. Zuiko, comme le 12-40mm f/2.8 Pro, l’ensemble offre une prise en main très équilibrée.
Réactivité de l’appareil photo
L’OM-1 Mark II s’appuie sur le même duo capteur/processeur que son aîné, conservant ainsi une réactivité au top. Grâce à son capteur empilé BSI Live MOS ultra-rapide et aux algorithmes du processeur TruePic X, il peut atteindre des vitesses assez impressionnantes :
Jusqu’à 50 i/s en rafale électronique avec autofocus continu (C-AF) et suivi du sujet
Jusqu’à 120 i/s en rafale électronique avec mise au point fixée sur la première vue (S-AF)
En mode Pro Capture (images pré-enregistrées avant pression du déclencheur)
Jusqu’à 1/32000s en vitesse d’obturation électronique
Pour autant, OM System a rajouté de nouveaux modes rafale à 12,5 i/s et 16,7 i/s pour ceux qui veulent économiser la mémoire. Surtout, la mémoire tampon (buffer) a été doublée et passe à 213 images RAW (contre 92 sur l’OM-1) avant de saturer. De quoi assurer de longues séquences sur les sujets en mouvement 🙂
Le suivi AF a été sensiblement amélioré. Il est désormais capable de ne pas décrocher quand un sujet se retourne, en passant automatiquement de la détection des yeux à celle du corps pour garder le verrouillage.
L’AF détecte désormais les humains en tant que sujets, de dos comme de face, et distingue mieux plusieurs sujets dans le cadre. Un nouveau mode Sélection de sujets permet de passer rapidement d’un sujet à un autre via les touches de directions. Bref, ça marche très bien ^^
Un point où l’OM-1 Mark II conserve son avance, c’est bien la stabilisation mécanique du capteur sur 5 axes (IBIS). Celle-ci grimpe à 8,5 stops de gain, soit 1,5 de mieux que l’OM-1, uniquement via optimisation logicielle. Elle autorise des poses ultra-lentes à main levée, jusqu’à 4s au téléobjectif selon OM System ! Cela dit, cette vitesse n’est pas contractuelle et ça dépend beaucoup de VOUS, et notamment de votre taux de caféine dans le sang 🙂
Qualité d’image de l’OM-1 Mark II
Sans surprise, l’OM System OM-1 Mark II s’appuie sur le même module 20 Mpx Stacked BSI Live MOS que son prédécesseur, couplé au puissant processeur TruePic X. Un duo connu pour produire des images détaillées, piquées, avec des couleurs éclatantes et bien équilibrées.
La plage dynamique est bonne pour un micro 4/3 (environ 12,5 IL), grâce au gain apporté par le capteur BSI Live MOS. Les hautes lumières évitent de “cramer” trop vite et les basses lumières sortent un niveau de détail appréciable.
Le boîtier gère bien les ISO jusqu’à 6400, avec un bon équilibre entre préservation des détails et lissage du bruit chromatique. Au-delà, le bruit devient plus présent et le lissage plus marqué, comme souvent sur les petits capteurs. Disons qu’un APS-C aura l’avantage d’1 à 2 stops en très haute sensibilité. Pour de la photo en très basse lumière, un appareil plein format fera mieux.
Cela dit, il faut prendre du recul sur le comportement à hauts ISO des boîtiers actuels. Avec l’avènement des algorithmes de suppression de bruits basés sur l’IA, comme dans Lightroom ou de DxO PureRAW, il devient possible de recréer les textures abîmées par le bruit. Je vous assure, c’est très impressionnant et faut le voir pour le croire ! Dans la formation “Maîtriser la photo de nuit en 7 jours“, nous avions fait une démonstration complète de cet outil sur une photo prise à 12800 ISO et qui ressemble à un fichier pris à 100 ISO après nettoyage par ces algorithmes !
Bref, dites-vous bien que le bruit à haut ISO n’est plus un facteur aussi déterminant qu’avant pour choisir un boîtier, c’était une petite piqûre de rappel 🙂
Pour les amateurs de haute définition, le mode High Res Shot est toujours présent offrant 80 Mpx à partir d’un trépied ou 50 Mpx à main levée. Il gagne en souplesse d’utilisation grâce à l’enregistrement des fichiers fusionnés en RAW 14 bits (au lieu de 12 bits), pour une plus grande latitude en post-traitement. C’est un net progrès, mais il faudra toujours une scène parfaitement immobile pour des photos nettes sans images fantômes sur les zones mobiles.
Autre atout, le boîtier intègre tout un arsenal de filtres créatifs pour varier les rendus. En tête, on trouve les Live ND (jusqu’à ND128, soit 7 IL) qui permettent de simuler l’effet d’un filtre gris neutre pour lisser l’eau ou les nuages en pose longue lors des prises de vue, avec l’avantage de prévisualiser le résultat en live. Ils sont complétés par les modes Live Composite, Live Time et Live Bulb pour le light painting ou les filés d’étoiles.
Grande nouveauté de cette Mark II, l’apparition d’un filtre Live GND gradué simulé en interne. En jouant sur la densité (de 1 à 3 IL), la progressivité (douce à forte) et l’inclinaison/position de la zone de transition, on peut facilement déboucher les ombres sans surexposer un ciel lumineux. Pratique pour équilibrer le contraste d’une scène sans recourir à un filtre externe et un trépied. C’est certes assez unique en son genre, mais cela dit, vous pouvez tout à fait reproduire cet effet en post-traitement, disons dans 95% des cas de figure !
Points forts et points faibles
L’OM-1 Mark II reprend les principaux atouts de son aîné tout en en renforçant certains. Voici un résumé de ses forces et de ses faiblesses :
Comparaison avec les appareils concurrents
Sur le segment des hybrides experts, l’OM-1 Mark II fait face à des concurrents sérieux qui misent sur des capteurs plus grands. Voici une comparaison plus détaillée avec ses principaux rivaux :
Le Panasonic Lumix G9 II (2000 €) : Cet autre hybride micro 4/3 expert mise sur une ergonomie plus conventionnelle avec une poignée généreuse et un grand viseur OLED 3,68 Mpts. Il propose une rafale à 20 i/s, un AF DFD amélioré et la vidéo 4K 60p 10 bits, mais n’a pas de capteur empilé ni de stabilisation aussi poussée (6,5 stops). Son gros avantage est son mode Pixel Shift 100 Mpx très efficace, ainsi que ses nombreuses aides vidéo comme le Vector Scope ou la View Assist HLG.
Le Fujifilm X-T5 (1900 €) : Ce boîtier hybride APS-C compact et robuste (IP67) arbore lui aussi un look rétro, mais avec une approche plus minimaliste. Son gros atout est son capteur X-Trans CMOS 5 de 40 Mpx, épaulé par le processeur X Processor 5, qui délivre une excellente qualité d’image jusqu’à 6400 ISO. L’AF est rapide et fiable, avec une rafale à 20 i/s et jusqu’à 1/180000s en vitesse d’obturation électronique. Mais il ne dispose pas de stabilisation intégrée et ses performances AF sont un cran en-dessous de celles de l’OM-1 Mark II. En vidéo, il tire son épingle du jeu avec de la 6.2K 30p en ProRes via son port HDMI.
Le Sony A6700 (2200 €) : Cette référence des appareils photo hybrides APS-C exploite la puissance de son capteur empilé de 26 Mpx et du processeur BIONZ XR pour offrir une rafale à 20 i/s et un autofocus parmi les plus aboutis du marché, avec un tracking en temps réel bluffant. Il excelle aussi en vidéo avec de la 4K 60p oversamplée en 10 bits 4:2:2 ou même de la 4K 120p en crop. Mais sa construction plus basique, sa stabilisation limitée à 5 axes et son interface touffue en refroidissent plus d’un.
Face à ces ténors, l’OM System OM-1 Mark II se distingue par sa compacité, sa stabilisation et sa vitesse d’obturation record. Ses capacités AF sont au niveau, sans toutefois atteindre le tracking en temps réel d’un Sony A6700 ou d’un Canon EOS R7. Et si son suivi ne décroche plus sur les sujets de dos, il reste parfois perturbé par les obstacles ou les sujets similaires proches.
En termes de qualité d’image, son capteur Live MOS BSI de 20 Mpx peine à rivaliser en détails et en dynamique face aux APS-C comme le X-T5 et ses 40 Mpx. Et s’il reste utilisable jusqu’à 6400 ISO, il accuse un retard en haute sensibilité par rapport à ses concurrents, avec un bruit plus présent et un lissage plus marqué.
Son gros point fort reste sa polyvalence d’usage, grâce à un riche écosystème d’objectifs qui couvre du 14 au 2400 mm eq. sans sacrifier la compacité. Des optiques comme les 12-100mm F4, 40-150mm F4 ou 100-400mm F5-6.3 n’ont pas d’équivalent chez Fujifilm ou Sony en termes de couverture focale et de poids. C’est un vrai plus pour les baroudeurs.
- Prix
- Note
- Date de sortie
- Capteur
- Sensibilité ISO
- Visée
- Ecran
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- Vitesse de la rafale
- Buffer en RAW
- Stabilisation
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- Vidéo
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- oui
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L’OM-1 Mark II en vidéo
En vidéo, il assure l’essentiel avec de la 4K 60p 10 bits, épaulée par une stabilisation et des filtres Live ND efficaces. Mais il n’offre pas d’options comme la 4K 120p du A6700 ni les assistants de prise de vue du G9 II. Pas de quoi en faire une référence vidéo, mais suffisant pour un hybride. Je n’en dis pas plus sur ce volet, car nous sommes sur un site dédié à la photo, ne l’oublions pas 😉
Est-ce l’appareil photo de vos rêves ?
En conclusion, l’OM-1 Mark II peut être vu comme une mise à jour ciblée de l’OM-1 sortie deux ans plus tôt. Il reprend la plupart des points forts de ce boîtier (compacité, tropicalisation, stabilisation, rafale) tout en optimisant certains aspects logiciels (suivi AF amélioré, buffer doublé, filtres ND/GND).
Pour autant, difficile d’y voir une vraie révolution 2 ans après l’OM System OM-1. Les améliorations de l’AF ou le gain de stabilisation auraient pu être apportées via mise à jour firmware sur l’OM-1. On peut aussi regretter une définition qui stagne à 20 Mpx et un tarif assez élevé de 2400€ qui fait grincer des dents pour un petit capteur micro 4/3.
L’OM System OM-1 Mark II s’adresse principalement aux photographes amateurs et experts équipés en objectifs M. Zuiko qui veulent profiter de la compacité et de la polyvalence du système. Il sera en particulier apprécié des photographes de sport, animaliers et de paysages pour sa tropicalisation, sa rafale, sa stabilisation et ses filtres Live ND et Live GND intégrés.
Mais son prix élevé et son capteur micro 4/3 le mettent en difficulté face à des boîtiers hybrides APS-C plus polyvalents et souvent moins onéreux. Si vous possédez déjà un OM-1, il n’est peut-être pas nécessaire de changer, à moins de vouloir absolument profiter de la mémoire tampon doublée ou des filtres Live GND. Si vous recherchez un appareil photo hybride compact expert, le Fujifilm X-T5 semble offrir un meilleur rapport qualité/prix/polyvalence.
Cela ne remet pas en cause les qualités intrinsèques de l’OM-1 Mark II, qui reste une excellente machine, parfaitement adaptée à ceux qui ont investi dans la ligne M.Zuiko. Ses fonctions avancées comme le Live Composite, le Starry AF, le Focus Stacking ou le High Res restent uniques sur le marché. Et sa rapidité d’exécution, couplée à sa stabilisation de référence, en font un outil d’une efficacité redoutable sur le terrain.
Si vous possédez l’OM System OM-1 Mark II, n’hésitez pas à partager votre expérience en commentaire, les points qui vous ont plu lors de vos prises de vue mais aussi ceux qui vous ont déplu. Votre avis éclairera sûrement de nombreux photographes souhaitant investir dans ce nouveau boîtier !
Où trouver cet appareil ?
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OM System OM-1 Mark II sur Digit-Photo
- OM System OM-1 Mark II sur MPB
Questions fréquemment posées
Voici quelques questions fréquentes sur l’OM-1 Mark II, avec leurs réponses :