Le très attendu Sony Alpha 7S III (A7S III) a été dévoilé fin juillet 2020, succédant à l’A7S II après 5 ans de bons et loyaux services. Cet hybride plein format est taillé pour la vidéo, avec des caractéristiques impressionnantes malgré un capteur 12 Mpx seulement.
L’A7S III se positionne sur le haut de gamme avec un tarif de lancement de 4200 €. Il vient chasser sur les terres du Panasonic Lumix S1H et du Canon EOS R5 côté vidéo.
Son capteur full frame (24×36 mm) de 12 mégapixels lui permet, en contrepartie d’une définition photo limitée, d’exceller en vidéo et en basse lumière. Il filme jusqu’en 4K 120p avec autofocus et dispose d’options très complètes pour les vidéastes.
Le boîtier en magnésium bénéficie d’une excellente construction et d’une très bonne ergonomie. Il est tropicalisé. Son viseur électronique de 9,44 Mpts est le meilleur du marché (pour les appareils de sa génération of course). L’écran arrière tactile est monté sur rotule.
L’A7S III sera parfait pour les vidéastes et créateurs de contenu exigeants qui veulent une caméra hybride fiable et polyvalente, performante en basse lumière. Il conviendra aussi aux photographes travaillant beaucoup en faible éclairage. Regardons ça de plus près 🙂
Caractéristiques techniques du Sony A7SIII
Nom : Sony Alpha 7S III (A7S III)
Prix de lancement : 4200 €
Date de sortie : Septembre 2020
Taille de capteur : Plein format (24×36 mm)
Définition du capteur : 12,1 Mégapixels
Processeur : Bionz XR (x2)
Plage de sensibilité ISO native : 80-102 400 ISO
Visée : Électronique, 9,44 Mpx, grossissement 0,90x, 120 im/s
Écran : 3”, 1,44 Mpx, tactile, sur rotule
Monture d’objectif : Sony E
Rafale : 10 im/s en RAW (mécanique et électronique)
Stabilisation : Sur capteur, 5 axes, jusqu’à 5.5 IL de gain
Vitesse d’obturation maxi : 1/8000 s (mécanique), 1/8000 s (électronique)
Stockage : 2 slots mixtes CFexpress Type A / SD UHS-II
Vidéo : 4K UHD à 120p, Full HD à 240p
Connectique : USB-C, micro HDMI, micro/casque
Dimensions : 129 x 97 x 81 mm
Poids : 699 g (avec batterie et carte)
Tropicalisation : Oui (étanchéité renforcée)
Batterie : NP-FZ100
Autonomie : 600 vues (norme CIPA)
Vous l’avez compris, au vu de la montée en ISO, l’Alpha 7S III est un appareil photo hybride plein format spécifiquement conçu pour la vidéo. Il représente une amélioration significative par rapport à l’Alpha 7S II (A7S II), lancé en septembre 2015.
Prise en main et ergonomie du boîtier
L’ergonomie de l’Alpha 7S III a été améliorée par rapport à l’A7S II. Le boîtier en alliage de magnésium est solide et bien construit, avec une finition haut de gamme. Il bénéficie d’une tropicalisation renforcée contre les intempéries.
La prise en main est excellente grâce à une poignée profonde et bien creusée. Le grip en caoutchouc offre une bonne adhérence. L’équilibre est parfait avec la plupart des objectifs, comme le Sony FE 24-105mm f/4 G.
L’ergonomie générale a été peaufinée. L’appareil compte de nombreuses molettes et touches personnalisables. Le joystick de sélection du collimateur AF tombe parfaitement sous le pouce. Les commandes sont bien dimensionnées et agréables à utiliser. Il faut dire qu’au bout de la troisième itération, Sony peaufine les petits détails 😉
L’Alpha 7S III inaugure une nouvelle interface utilisateur. Les menus ont été clarifiés et mieux organisés. Leur navigation peut maintenant se faire au toucher sur l’écran arrière. Pour autant, trouver certains réglages demeure parfois un peu fastidieux.
Le viseur électronique fait un bond en avant avec une définition record de 9,44 millions de points. C’est pour sa génération le meilleur EVF du marché, surpassant celui du Sony A7R IV. Son grossissement de 0,90x offre un confort visuel appréciable sans atteindre le 0,78x d’un Panasonic S1.
Les performances d’affichage du viseur sont au rendez-vous avec un taux de rafraîchissement atteignant 120 im/s, idéal pour suivre les sujets en mouvement. Le temps de latence est réduit au minimum pour une expérience se rapprochant d’un viseur optique. Il n’y a pas à dire, l’affichage est fluide 🙂
En revanche, on observe quelques aberrations chromatiques dans les coins à la longue. Aussi, certains auraient apprécié un mode 240 im/s pour un rendu ultra fluide, comme le propose Canon sur ses derniers modèles. Mais bon, c’est peut-être du chipotage 🙂
L’écran arrière tactile de 3″ et 1,44 Mpx est monté sur une rotule. Il permet donc les rotations dans tous les sens et les selfies, ce qui s’avérera pratique pour les vlogueurs et les tournages en solo (utile pour éviter de se rendre compte que vous avez foirée la mise au point au bout 1h30 de tournage 🙂 )
La connectique comprend un port USB-C, un port micro HDMI pleine taille (c’est la base pour un appareil dédié à la vidéo !), une prise casque et une entrée micro. Ils sont bien positionnés pour ne pas gêner l’écran orientable, bien joué Sony ! On retrouve aussi une prise télécommande.
La double trappe des cartes mémoire peut accueillir deux modules SD UHS-II ou deux cartes CFexpress Type A, un nouveau format compact et rapide promu par Sony. L’A7S III est d’ailleurs le premier appareil à l’adopter.
Au niveau des dimensions, l’A7S III est un peu plus grand que l’A7S II avec 5 mm de large et de profondeur en plus. Il gagne aussi 50 grammes. Cela reste très compact pour un plein format et plus léger qu’un Nikon Z6. Le poids passe à 699g avec batterie et carte.
Sony peaufine son boîtier jusque dans les détails. Ainsi, le mécanisme du levier de déverrouillage de l’objectif a été revu pour ne plus cliqueter et perturber les enregistrements audio. Ce souci des petites choses montre le degré de maturité atteint grâce aux itérations des modèles précédents (et Sony a la bonne habitude d’écouter les retours terrains de ses utilisateurs).
Réactivité de l’appareil
Avec ses deux processeurs Bionz XR, l’Alpha 7S III s’annonce réactif. Et les tests confirment cette excellente réactivité générale.
Le démarrage s’effectue en moins d’une seconde, ce qui est dans la moyenne haute. L’autofocus est extrêmement véloce et précis en condition de lumière normale. Il perd un peu en vitesse dans la pénombre mais reste de très bon niveau.
Cela s’explique notamment par le nouveau capteur Exmor R empilé, équipé de 759 collimateurs AF par détection de phase. Ils couvrent 92% de la surface de l’image pour une couverture quasi intégrale et des performances homogènes.
L’autofocus à détection de phase est maintenant disponible avec un plus grand nombre d’objectifs tiers grâce à des mises à jour du firmware. Certains créatifs apprécieront de pouvoir utiliser d’anciennes optiques manuelles sans souci.
La rafale en RAW est limitée à 10 im/s, que ce soit avec l’obturateur mécanique ou électronique. C’est suffisant pour la plupart des usages mais les sportifs invétérés préfèreront un Sony A9 II ou un Sony A1. Le buffer permet 1000 JPEG ou 239 RAW compressés. Pas mal !
Si l’obturateur mécanique plafonne au 1/8000 s, l’obturateur électronique peut monter au 1/32000 s pour figer les sujets ultra rapides même à pleine ouverture en plein soleil. L’obturateur électronique est aussi parfaitement silencieux.
L’autofocus bénéficie des dernières technologies de détection des visages et des yeux par intelligence artificielle de Sony. Il fait partie des meilleurs du marché et suit parfaitement les sujets, même en mouvement rapide.
L’eye AF reconnaît désormais les yeux des animaux en plus de ceux des humains. Il fonctionne en photo comme en vidéo. Le tracking garde le point même si le visage sort momentanément du cadre. La priorité visage peut être activée indépendamment du mode AF.
Si vous voulez tout remettre à plat sur les modes autofocus, et maîtriser complètement les potentialités de votre appareil, jetez un oeil à la Formation Mouvement. Nous avons décortiqué les systèmes autofocus de chaque marque d’appareil pour vous les expliquer au mieux.
L’A7S III intègre une stabilisation mécanique sur 5 axes (IBIS). Elle apporte jusqu’à 5,5 stops de gain, parmi les plus efficaces du marché. C’est appréciable pour stabiliser les vidéos à main levée, en complément d’une stabilisation optique.
Avec un objectif adapté comme un 24-105 mm f/4, on obtient des vidéos bien stabilisées dès lors qu’on limite les mouvements brusques. Même en marchant rapidement, le rendu reste plutôt fluide et propre. La stabilisation profitera aussi aux photographes en basse lumière.
Qualité d’image du Sony Alpha 7S III
La qualité d’image de l’Alpha 7S III est excellente, notamment grâce à son capteur full frame très performant en basse lumière et à sa dynamique élevée.
La définition de 12 Mpx peut sembler faible mais s’avère un choix pertinent pour privilégier la vidéo et les hautes sensibilités. Jusqu’à 1600 ISO, l’image ne montre quasiment aucune dégradation. À 6400 ISO, le bruit reste contenu et l’image propre.
Au-delà, le lissage s’accentue mais les clichés restent exploitables jusqu’à 12800, voire 25600 ISO selon l’exigence et l’usage. Le capteur opère des merveilles en basse lumière. Seuls les ISO 51200 et 102400 sont à réserver aux situations désespérées. Littéralement, avec cet appareil vous verrez dans le noir 🙂
Sony annonce une dynamique de 14 IL en photo et 15 IL en vidéo avec le profil S-Log3. Le capteur montre en effet une belle capacité à gérer les hautes lumières sans trop cramer les blancs. Son bruit de chrominance et luminance est minimal.
En RAW, on dispose de pas mal de latitude pour récupérer les hautes lumières et ombres. Les fichiers supportent bien la correction. En photo, on pourra monter jusqu’à 3 ou 4 IL de correction d’exposition sans dégradation majeure, surtout dans les basses ISO.
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Si l’on n’a pas besoin d’agrandir de grands tirages papier, les 12 Mpx suffiront dans la plupart des cas. Ils permettront d’imprimer sans problème jusqu’au format A4 voire plus. Pour recadrer beaucoup, il faudra avoir un A7R IV ou un A1.
Cela dit, il faut relativiser le besoin de haute définition pour imprimer grand, regardez cette vidéo pour vous en convaincre 🙂
Le mode Pixel Shift Multi Shooting tire 16 images en décalant le capteur et permet de générer des fichiers composites d’environ 48 Mpx. Mais ça n’est réellement utilisable qu’en studio avec des sujets parfaitement immobiles. Car oui, même un paysage avec des arbres qui bougent n’est pas un sujet parfaitement immobile 🙂
Malgré une définition limitée, l’Alpha 7S III produit donc des images de très grande qualité, avec une colorimétrie, un piqué et des dégradés excellents. Son point fort reste sa plage dynamique et sa gestion du bruit inégalées sur le marché.
Il s’impose comme le roi de la photo en basse lumière et s’avère aussi à l’aise en haute sensibilité qu’un reflex Nikon D6 ou Canon EOS 1DX Mark III. C’est dire son excellent niveau !
Le Sony Alpha 7S III en vidéo
La vidéo est le domaine de prédilection de l’Alpha 7S III. Il dispose de capacités exceptionnelles qui en font une référence en la matière, dépassant même certaines caméras cinéma.
Il peut filmer en 4K UHD jusqu’à 120 im/s avec autofocus et sans recadrage (full pixel readout). Le débit grimpe jusqu’à 600 Mbps en 4:2:2 10-bit avec le codec H.265. En 4K 60p, le 4:2:2 10 bits est aussi disponible avec un échantillonnage full frame.
En Full HD, la cadence atteint les 240 im/s, parfait pour réaliser des ralentis jusqu’à 10x. Là aussi, mise au point automatique et suivi AF restent opérationnels. Le rolling shutter est bien maîtrisé.
L’Alpha 7S III propose des profils d’image S-Cinetone, S-Log, HLG pour l’HDR. Il intègre un mode vlog qui agit comme un mode auto optimisé pour la prise de vue au quotidien. La sortie vidéo est en 16-bit RAW.
La sensibilité ISO native du profil S-Log3 grimpe à 640 ISO contre seulement 1600 sur l’A7S II. Cela laisse plus de latitude pour maitriser la lumière en condition d’éclairage réduit.
Sony n’a pas sacrifié la connectique avec un port micro HDMI, une prise micro et une prise casque. On peut aussi utiliser des micros sans fil grâce au Multi Interface Shoe. Pratique également : l’enregistrement de clips proxy 1080p en parallèle des rushes.
Le boîtier ne surchauffe pas, même lors de longues prises grâce à un dissipateur thermique intégré. L’autonomie est conséquente avec environ 90-100 minutes d’enregistrement 4K 60p par batterie.
Points forts et points faibles du Sony Alpha 7S III
Comparaison de l’A7S III avec les appareils concurrents
L’Alpha 7S III part au combat face à des concurrents de taille sur le marché des hybrides plein format orientés vidéo. Voici comment il se positionne face à ses rivaux :
Canon EOS R5 : l’autre monstre vidéo de 2020 avec sa 8K raw et sa 4K 120p. Il surpasse l’A7S III en photo grâce à son capteur de 45 Mpx et sa rafale à 20 i/s. Mais il chauffe rapidement en vidéo. Son AF est excellent. 600€ de plus que le Sony.
Panasonic LUMIX S1H : grosse bête taillée pour la vidéo avec de la 6K. Enregistrement illimité sans surchauffe grâce à un système de ventilation. Plébiscité par les pros mais plus encombrant et moins bon en photo que l’A7S III avec “seulement” 24 Mpx. Même gamme de prix.
Nikon Z6 II : polyvalent et très bon en vidéo (4K 60p) comme en photo. Mais un cran en dessous de l’A7S III en vidéo et en AF. Moins performant en haute sensibilité. Point fort : son prix inférieur de 1300€.
Sony A7 III : premier prix des hybrides plein format chez Sony. Même dalle de 12 Mpx mais performances vidéo en retrait par rapport au S III (pas de 4K 120p). Également en retrait sur l’AF. Un excellent choix 2000€ moins cher !
- Prix
- Note
- Date de sortie
- Capteur
- Sensibilité ISO
- Visée
- Ecran
- Objectif
- Vitesse de la rafale
- Buffer en RAW
- Stabilisation
- Carte mémoire
- Vidéo
- Dimensions
- Poids avec batterie
- Tropicalisation
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Sony A7S III
Sony
- 4200 €
- 2020
- FF - 12,1 Mpx
- 80 - 102400
- électronique - 9,44 Mpx
- 3'' - 1,44 Mpx - tactile - sur rotule
- -
- 10 i/s
- 999
- oui
- 1 CFexpress + 1 SD
- 4K UHD 120 i/s - 1080p 120 i/s
- 129 x 97 x 81 mm
- 699 g
- oui
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-
Canon EOS R5
Canon
- 3800 €
- 2020
- FF - 45 Mpx
- 100 - 51200
- électronique - 5,76 Mpx
- 3,2'' - 2,1 Mpx - tactile - sur rotule
- -
- 20 i/s
- 180
- oui
- 1 SD + 1 CFexpress
- 8K 30 i/s - 4K DCI 120 i/s - 4K UHD 120 i/s
- 138 x 98 x 88 mm
- 738 g
- oui
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-
Panasonic Lumix S1H
Panasonic
- 3000 €
- 2020
- FF - 24,2 Mpx
- 100 - 51200
- électronique - 5,76 Mpx
- 3,2'' - 2,33 Mpx - tactile - sur rotule
- -
- 9 i/s
- 90
- oui
- 2 SD
- 5K 30 i/s - 4K DCI 60 i/s - 1080p 120 i/s
- 151 x 114 x 110 mm
- 1052 g
- oui
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-
Nikon Z6 II
Nikon
- 2250 €
- 2020
- FF - 25 Mpx
- 100 - 51200
- électronique - 3,69 Mpx
- 3,2'' - 2,1 Mpx - tactile - inclinable
- -
- 14 i/s
- 124
- oui
- CFexpressB/XQD + 1 SD
- 4K UHD 30 i/s - 1080p 120 i/s
- 134 x 101 x 70 mm
- 705 g
- oui
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-
Sony A7 III
Sony
- 1400 €
- 2018
- FF - 24,2 Mpx
- 100 - 51200
- électronique - 2,36 Mpx
- 3'' - 0,92 Mpx - tactile - inclinable
- -
- 10 i/s
- 40
- oui
- 2 SD
- 4K UHD 30 i/s - 1080p 120 i/s
- 127 x 96 x 74 mm
- 650 g
- oui
- Voir le prix sur
Par rapport à ses concurrents, l’Alpha 7S III semble le plus polyvalent et le mieux armé côté vidéo grâce à sa 4K 120p, son autofocus, sa plage dynamique et ses hautes sensibilités. Seul le Canon R5 peut réellement lui tenir tête sur ce terrain. L’Alpha 7S III se distingue particulièrement par ses solides performances d’autofocus, notamment la détection et le suivi des visages et des yeux, ainsi que par la qualité d’image en 4K UHD, ce qui en fait un outil professionnel de premier plan.
En photo, la définition de 12 Mpx de l’A7S III le limite un peu comparé à un A7 III, R5 ou S1H, mais il conserve l’avantage en basse lumière. Il se positionne comme un spécialiste vidéo alors que les autres sont des couteaux suisses.
Est-ce l’appareil de vos rêves ?
L’Alpha 7S III cible clairement une clientèle de vidéastes exigeants et de photographes travaillant en basse luminosité. Si vous entrez dans une de ces catégories, il a de fortes chances de vous combler.
Ses exceptionnelles performances vidéo, notamment en 4K, satisferont les besoins des créateurs de contenu, des professionnels comme des amateurs passionnés. La polyvalence est au rendez-vous, que ce soit pour le documentaire, le clip, le court-métrage ou le film corporate.
Le capteur de 12 Mpx suffira à la plupart des photographes, surtout ceux shootant en JPEG. Les amoureux des gros tirages et du gros crop en RAW devront passer leur chemin. Mais pour les amateurs de scènes nocturnes ou de concerts, l’A7S III sera un régal.
Le tarif élevé de 4200€ (boîtier nu) réservera l’A7S III aux amateurs éclairés et fortunés. C’est un investissement conséquent mais qui en vaut la peine par rapport à la qualité de fabrication et aux performances proposées.
Si la vidéo est secondaire dans vos usages et que la photo prime, regardez plutôt du côté de l’excellent A7 III ou d’un A7R IV si vous avez besoin de plus de mégapixels. Vous ferez de substantielles économies !
Et vous, qu’en pensez-vous ? Possédez-vous un A7S III ou envisagez-vous de l’acheter ? Partagez votre expérience et votre avis dans les commentaires ! Vos retours aideront les autres à faire leur choix 🙂
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Questions fréquemment posées sur le Sony Alpha 7S III