Sorti en mars 2019, le Fujifilm X-T30 est un appareil photo hybride au format APS-C, qui vient compléter la gamme X-T de Fujifilm en se positionnant juste en dessous du X-T3. Si ce dernier est plutôt destiné à un public expert et professionnel, le X-T30 vise les photographes amateurs avancés à la recherche d’un boîtier compact mais performant.
Successeur du très populaire X-T20 (boîtier Fujifilm le plus vendu dans le monde en 2018), le X-T30 bénéficie des dernières avancées technologiques de la marque japonaise, à savoir le capteur X-Trans CMOS 4 de 26,1 mégapixels et le processeur X-Processor 4, qui équipent aussi le X-T3. Dans un gabarit ultra-léger de seulement 383g, il intègre un viseur OLED, un écran tactile orientable, un autofocus performant et l’enregistrement vidéo 4K DCI.
Côté look, le X-T30 conserve l’esthétique rétro et vintage caractéristique des appareils Fujifilm, avec ses molettes de réglage facilement accessibles sur le dessus. Il adopte cependant une ergonomie plus simplifiée que le X-T3, dans un esprit à mi-chemin entre le X-T20 et X-T10. Une sorte de compromis entre compacité et facilité d’utilisation.
Vendu à son lancement 949€ en boîtier nu et 1299€ en kit avec le très bon zoom transtandard XF 18-55mm f/2.8-4, le X-T30 se place en concurrent direct d’appareils APS-C experts comme le Sony A6400 ou le Canon EOS M6 Mark II, tout en étant moins cher. Avec sa monture Fujifilm X, il est par ailleurs compatible avec une très large gamme d’objectifs de qualité, fixes comme zooms.
Caractéristiques Techniques du Fujifilm XT30
Voici les caractéristiques techniques de cet appareil photo Fujifilm X-T30 :
Nom : Fujifilm X-T30
Prix de lancement : 949€ (boîtier nu)
Date de sortie : Mars 2019
Taille de capteur : APS-C
Définition du capteur : 26,1 mégapixels
Processeur : X-Processeur 4
Plage de sensibilité ISO native : 160 à 12800 ISO
Visée : électronique (OLED 2,36 millions points, grossissement 0,62x)
Écran : LCD 3 pouces, 1,04 million points, tactile, orientable
Monture d’objectif : Fujifilm X
Rafale : 8 i/s (20 i/s avec l’obturateur électronique, 30 i/s avec crop 1.25x), buffer 18 images RAW
Stabilisation : non (stabilisation optique sur certains objectifs)
Obturation : 1/4000s (mécanique), 1/32000s (électronique)
Stockage : 1 emplacement SD UHS-I
Vidéo : 4K DCI jusqu’à 30 i/s, Full HD jusqu’à 120 i/s
Connectique : USB-C, micro HDMI, microphone
Dimensions : 118 x 83 x 47 mm
Poids : 383g (avec batterie et carte mémoire)
Tropicalisation : non
Batterie : NP-W126S (celle du X-T3)
Autonomie : 380 vues (norme CIPA)
Prise en main et ergonomie du Fujifilm X-T30
Le Fujifilm X-T30 conserve le look rétro emblématique des appareils de la marque nippone. Son revêtement noir ou bi-ton noir/argent en aluminium anodisé, associé à ses molettes crantées en métal, lui confère une esthétique élégante qui rappelle celle des appareils argentiques. Ce boîtier au format réduit séduira ceux qui recherchent un appareil au style classique intemporel ! Le design compact, rétro et fonctionnel du Fujifilm X-T30 favorise une expérience immersive et stimule l’imagination et la créativité des photographes.
La compacité du X-T30 est assez impressionnante : il ne pèse que 383g (batterie et carte mémoire incluses) et se glisse facilement dans un petit sac ou une grande poche. Couplé à une optique pancake comme le Fujinon XF 27mm f/2.8, c’est un boîtier discret et très peu encombrant qui vous suivra partout. En gros, c’est un mini-X-T3, alors même que le X-T3 est déjà très léger et compact, c’est vous dire !
Si vous avez besoin de rester discret, comme en photo de rue ou en voyage, c’est un bon candidat !
Son gabarit contenu n’entache en rien sa qualité de fabrication, qui reste excellente avec une coque en alliage de magnésium. L’appareil tient bien en main malgré l’absence de grip prononcé, grâce à une petite proéminence sur le devant qui permet de caler son index. L’agencement des nombreuses molettes et boutons de contrôle directement accessibles, chers aux aficionados de Fujifilm, autorise un réglage rapide et intuitif de l’exposition (vitesse, ouverture, correction d’exposition) ainsi que des modes de prise de vue. Les différentes options de personnalisation et de réglages disponibles sur l’appareil permettent une utilisation experte et adaptée à chaque situation.
Et si vous ne vous y faites vraiment pas, pas d’inquiétude, il est évidemment possible de se passer des molettes du dessus et de n’utiliser que la molette du devant en mode semi-automatique (priorité vitesse ou ouverture), et la molette arrière pour la correction d’exposition. C’est comme vous préférez, pas d’obligation.
Par rapport au X-T20, quelques changements bienvenus dans l’ergonomie sont à noter. Le X-T30 abandonne la croix directionnelle au profit d’un vrai joystick pour déplacer les collimateurs de mise au point. La touche Q permettant d’accéder rapidement au menu de paramétrage a été déportée sur le haut afin d’être accessible du pouce instantanément.
L’écran LCD tactile de 3 pouces conserve la même définition (1,04 million points) mais devient inclinable à 180° horizontalement comme verticalement pour faciliter les prises de vue à angle bas ou en contre-plongée. Très utile pour photographier des enfants au ras du sol par exemple 😉 Le choix de l’écran inclinable plutôt que sur rotule permet de viser dans l’axe de l’objectif, mais empêche de retourner complètement l’écran pour se filmer. Que voulez-vous, on ne peut pas contenter tout le monde !
Sa réactivité a été grandement améliorée par rapport au X-T20 pour naviguer dans les menus ou changer de collimateur AF.
Le viseur OLED de 2,36 millions de points reste identique à celui du X-T20. Il est moins défini et plus petit que celui du X-T3 (grossissement 0,62x au lieu de 0,75x). Je ne vais pas vous le cacher, c’est beaucoup moins confortable, surtout pour les porteurs de lunettes ! Mais bon, rien en vous empêche d’utiliser en priorité l’écran arrière après tout 🙂 Mais sachez que chez Fujifilm, en termes de viseur, il existe mieux !
Quelques défauts d’ergonomie subsistent toutefois dans ce boîtier globalement bien conçu et agréable à manipuler. Le bouton Q placé sur le dessus peut vite être activé par inadvertance avec le pouce. De même, lors de la visée, il arrive de changer inopinément de collimateur AF avec le nez qui appuie sur l’écran tactile. C’est énervant ! L’accès à la carte mémoire par le dessous n’est pas optimal si vous avez fixé un plateau rapide sous l’appareil (trépied, Capture Clip). L’accès latéral comme sur le X-T3 est bien plus pratique. Enfin on regrettera l’absence de port casque pour contrôler le son en vidéo.
Contrairement au X-T3, le X-T30 ne bénéficie pas d’un double compartiment pour cartes SD (UHS-II) ni d’une construction tropicalisée résistante aux intempéries et à la poussière. Sa poignée réduite ne sera pas forcément confortable pour les grandes mains (mais vous pouvez en rajouter une externe si ça vous embête trop). L’absence de stabilisation mécanique intégrée au capteur (IBIS) pourra rebuter certains, même si beaucoup d’objectifs Fujinon en sont dotés, notamment les longues focales (c’est là où c’est le plus utile). Autant de concessions acceptables vu le positionnement tarifaire plus abordable du X-T30. Le rapport encombrement/poids/performances reste excellent pour voyager léger sans sacrifier la qualité.
Réactivité de l’appareil
Le Fujifilm X-T30 embarque le même processeur quad-core X-Processor 4 que le X-T3, ce qui lui permet d’atteindre d’excellentes performances en termes de réactivité générale. Seul le temps de démarrage (environ 0,4s) s’avère très légèrement supérieur aux autres hybrides experts du moment, mais rien de rédhibitoire. Pour le reste, les mesures sont au niveau des meilleurs.
Pour la mise au point, le X-T30 profite du nouvel algorithme AF développé par Fujifilm, c’est à dire un autofocus hybride (corrélation de phase + détection de contraste), au niveau de celui du X-T3. Des mises à jour du firmware peuvent encore améliorer les performances de l’autofocus.
Par ailleurs, le suivi des sujets en mouvement (tracking AF-C), la détection des visages et la reconnaissance des yeux ont grandement été améliorés grâce à l’assistance de l’IA. En pratique, l’autofocus du X-T30 accroche instantanément le sujet, même en faible lumière. Il conserve une bonne réactivité et un suivi fiable dans la plupart des scènes, pour peu que le sujet ne soit pas trop petit ou excentré dans le cadre ou trop rapide. Malgré tout, le X-T30 se révèle redoutable pour photographier des portraits, de l’action ou des animaux (pas trop rapides et pas trop petits dans le cadre, souvenez-vous).
Côté rafale, le X-T30 tient ses promesses avec 8 i/s en obturateur mécanique (buffer correct de 18 images RAW avant ralentissement) et jusqu’à 20 i/s avec l’obturateur électronique (buffer de 32 images avec la carte UHS-II du X-T3). La cadence atteint même 30 i/s avec un léger recadrage de 1,25x. Une fois plein, l’appareil ralentit mais continue à shooter à vitesse réduite, sans blocage (c’est important de le mentionner !)
Avec le grip optionnel, 11 i/s sont possibles en continu mécanique.
En résumé, le Fujifilm X-T30 procure une excellente réactivité pour un usage au quotidien. Seule la détection des visages/yeux montre encore quelques lenteurs et imprécisions, notamment quand les sujets sont loins ou dans les angles. Les photographes de studio ou de mariage apprécieront aussi la prise de vue silencieuse avec l’obturateur électronique.
Qualité d’image du Fujifilm X-T30
La qualité d’image délivrée par le Fujifilm X-T30 est tout simplement excellente. Son capteur APS-C X-Trans CMOS 4 de dernière génération (celui du X-T3), d’une définition de 26,1 mégapixels, associé au puissant processeur X-Processor 4, fournit des images très détaillées avec une large dynamique et des couleurs naturellement fidèles. C’est un capteur connu qui a fait ses preuves 😉
La plage de sensibilité native de 160 à 12800 ISO (extensible de 80 à 51200 ISO) autorise des prises de vue dans des conditions de faible luminosité. Jusqu’à 6400 ISO, le lissage est bien maîtrisé et le bruit numérique finement dosé. C’est l’ISO maximal auquel vous pouvez monter sans trop réfléchir 🙂 Les RAW se montrent agréables à traiter avec une belle conservation des détails. Au-delà, à 12800 ISO, la dégradation s’accentue. Il faudra en revanche éviter de monter à 25600 ou 51200 ISO, seulement utilisables en cas d’absolue nécessité et à coupler avec un passage dans les algorithmes de suppression de bruit de DxO ou de Lightroom.
La récupération dans les ombres en post-traitement est aisée jusqu’à 3 IL sans générer trop de bruit. Dans les hautes lumières, la perte de détails et l’écrêtage n’interviennent qu’au-delà de +1,6 IL, voire +2 IL environ. La latitude d’exposition s’avère donc généreuse, de l’ordre de 5 IL, avec toutefois une dominante un peu froide si l’on force trop la récupération des ombres. Mais tout cela suffit pour gérer la plupart des scènes à fort contraste, et pardonner les erreurs d’exposition (sans avoir besoin de faire de HDR).
Fidèle à la réputation de Fujifilm, le X-T30 délivre une belle science des couleurs directement en JPG grâce aux multiples simulations de films. Celles-ci, au nombre de 16, reproduisent les rendus des pellicules argentiques Fuji (Provia, Velvia, Astia, Classic Chrome, Eterna, Acros…) et permettent d’obtenir facilement des looks variés et créatifs sans retoucher ses images. Si vous faites post-traitement (ce que je vous incite fortement à faire ; lisez l’article sur les logiciels de retouche si besoin 🙂 ) les fichiers RAW, vous pouvez utiliser ces profils Fuji comme point profil de couleur de départ dans Lightroom.
Globalement, le Fujifilm X-T30 produit des images de haute qualité qui n’ont rien à envier aux Full Frame. C’est un très bon compromis donc entre compacité, performances et budget.
Points forts et points faibles du Fujifilm X-T30
Comparaison avec les appareils concurrents
Dans la catégorie des hybrides APS-C experts, le Fujifilm X-T30 doit faire face à une rude concurrence, mais il en sort vainqueur sur plusieurs points. Voici les principaux challengers et leurs atouts/lacunes respectifs :
Le Sony A6400 (avril 2019, 950€) est sans doute le rival le plus sérieux. Plus petit encore, mais avec un look plus moderne, il offre un autofocus encore plus rapide et puissant basé sur l’IA (Real-Time Tracking, Real-Time Eye AF humain et animal), une rafale à 11 i/s en continu, un viseur plus défini de 2,36 Mpts et une vidéo 4K 30p sans recadrage. Il ne possède en revanche pas de molettes de réglage manuel comme le X-T30, sa qualité JPG est en retrait et son écran orientable n’est pas tactile. À vous de choisir entre l’ergonomie et le look old-school de Fujifilm ou les performances AF et vidéo de Sony.
Chez Canon, l’EOS M6 Mark II (oct. 2019, 1029€) joue aussi dans la même cour. Plus récent, il offre une définition bien supérieure de 32,5 Mpix, la 4K UHD 30p sans crop, une rafale à 14 i/s en obtu électronique et un AF rapide sur 5481 points. Mais il n’a pas de viseur intégré (optionnel), ni de look rétro, ni de simulations de films. Son autofocus en tracking et détection des yeux est un cran en-dessous de celui du X-T30, de même que sa qualité en haute sensibilité. Sans compter que Canon est en train d’abandonner cette gamme APS-C au profit de la nouvelle RF-S, donc je ne vous la conseillerais pas trop en premier choix.
Les hybrides Micro 4/3 comme le Panasonic GX9 (fév. 2018, 499€) jouent la carte de l’ultra-compacité et de la vidéo. En effet, le GX9 est encore plus petit que le X-T30, tout en conservant un viseur intégré, un look rétro et un écran orientable tactile. Il filme en 4K UHD 30p sans limite de temps, offre une stabilisation 5 axes, des assistances vidéo comme le focus peaking et un excellent AF avec suivi. Mais son plus petit capteur micro 4/3 limite sa dynamique et sa montée en ISO.
Enfin, si l’on cherche absolument la robustesse tout-temps et la stabilisation IBIS, le Fujifilm X-T3 (sept. 2018, 1499€) reste une valeur sûre, pour 500€ de plus que le X-T30. Tropicalisé, avec une meilleure construction en alliage de magnésium, un autofocus encore plus performant (via firmware v3.0), un bien meilleur viseur plus large, il est clairement orienté vers un usage professionnel semi-expert. Le X-T30 reste plus recommandé pour voyager ultra-léger.
- Prix
- Note
- Date de sortie
- Capteur
- Sensibilité ISO
- Visée
- Ecran
- Objectif
- Vitesse de la rafale
- Buffer en RAW
- Stabilisation
- Carte mémoire
- Vidéo
- Dimensions
- Poids avec batterie
- Tropicalisation
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Fujifilm X-T30
Fujifilm
- À partir de 604 €
- 2019
- APS-C - 26 Mpx
- 160 - 12800
- électronique - 2,36 Mpx
- 3'' - 1,04 Mpx - tactile - inclinable
- -
- 20 i/s
- 17
- oui
- 1 SD
- 4K DCI 30 i/s - 4K UHD 30 i/s - 1080p 120 i/s
- 118 x 83 x 47 mm
- 383 g
- non
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Sony A6400
Sony
- 900 €
- 2019
- APS-C - 24,2 Mpx
- 100 - 32000
- électronique - 2,36 Mpx
- 3'' - 0,92 Mpx - tactile - inclinable
- -
- 11 i/s
- 46
- non
- 1 SD
- 4K UHD 30 i/s - 1080p 120 i/s
- 120 x 67 x 60 mm
- 403 g
- oui
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Canon EOS M6 Mark II
Canon
- À partir de 659 €
- 2019
- APS-C - 32,5 Mpx
- 100 - 25600
- électronique - 2,36 Mpx
- 3'' - 1,04 Mpx - tactile - inclinable
- -
- 14 i/s
- 23
- non
- 1 SD
- 4K UHD 30 i/s - 1080p 120 i/s
- 120 x 70 x 49 mm
- 408 g
- non
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Panasonic Lumix GX9
Panasonic
- À partir de 429 €
- 2018
- micro 4/3 - 20,3 Mpx
- 200 - 25600
- électronique - 2,76 Mpx
- 3'' - 1,24 Mpx - tactile - inclinable
- -
- 9 i/s
- 32
- oui
- 1 SD
- 4K UHD 30 i/s - 1080p 60 i/s
- 128 x 89 x 74 mm
- 450 g
- non
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Le X-T30 est-il l’appareil de vos rêves ?
Compact, réactif, performant en photo comme en vidéo et doté d’une ergonomie intuitive, le Fujifilm X-T30 a de très sérieux arguments à faire valoir pour s’imposer comme l’un des meilleurs hybrides APS-C polyvalents du marché à moins de 1000€. C’est un appareil ultra-polyvalent qui conviendra à la plupart des photographes exigeants, du débutant en quête de qualité à l’expert recherchant un second boîtier léger et abordable.
Certes, il n’est pas tropicalisé ni stabilisé mécaniquement, ne dispose que d’un unique slot SD UHS-I et son viseur est un peu étriqué pour les porteurs de lunettes. Mais le X-T30 concentre toute l’excellence technologique de son grand-frère X-T3 (capteur, processeur, AF, simulation de film…) avec seulement quelques concessions (tropicalisation, viseur, vidéo 10 bits…), le tout pour un prix environ 500€ moins élevé et un format réduit de plus de 30% ! Assurément l’un des meilleurs rapports performances/prix/encombrement du marché à l’heure actuelle. Si vous recherchez un appareil expert mais abordable et discret pour vous accompagner au quotidien comme en voyage, il sera votre allié idéal pour concrétiser votre passion sans vous ruiner ni vous encombrer.
Seuls les photographes très exigeants, ayant un réel besoin d’une construction tout temps, d’une stabilisation IBIS ou d’un autofocus encore plus abouti devront se tourner vers un Fujifilm X-T3, X-H1 ou X-Pro3. Ou vers les ténors 24×36 des autres marques (Sony A7 III, Nikon Z6, Canon EOS R, Panasonic S1…), au détriment du budget et de la portabilité (surtout le poids et le prix des objectifs).
N’oubliez pas que dans la majorité des cas l’appareil photo ne fait pas tout, et je dirais même fait peu dans la réussite d’une image. C’est votre connaissance de l’appareil, votre pratique, et votre culture visuelle qui vous permettront de faire de meilleures photos, on ne le répétera jamais assez 🙂
Cela dit, si vous avez ce Fujifilm X-T30, lâchez-nous un petit retour d’expérience en commentaire, merci d’avance !
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Questions fréquemment posées